des Oh! et débats
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des Oh! et débats
Les Pays-bas vivraient-ils la fin d'une époque ? Laboratoire des libertés depuis les années 60, unique en Europe, le modèle néerlandais est aujourd'hui remis en cause par les conservateurs. Mais quelques progressistes se battent encore.
Aux Pays-Bas, l'herbe est moins verte qu'il y a encore dix ans...
http://www.telerama.fr/monde/a-amsterdam-l-herbe-est-moins-verte,31808.php
Mon cher Utrecht sur le Oudegracht, le Sarasani (qui a dû fermer ses portes fin août 2007) tout premier coffeeshop des Pays-bas (1968)...
Sinon, un sujet plus futile et mains libres – enfin presque
La nouvelle pantomime urbaine ne connaît pas de répit. Valider ses passes magnétiques dans le métro tout en envoyant des SMS, c'est si facile quand on téléphone avec un kit mains libres !
On croise de plus en plus de gens étranges dans nos rues. Gesticulant, parlant seuls, faisant de curieux gestes avec leurs doigts... Symptôme d'une vague grandissante d'incommunicabilité ? Au contraire. Une seconde après les avoir croisés et avoir compati, on réalise que ces bavards ne soliloquent pas. Ils téléphonent avec un kit mains libres. Cet appendice téléphonique avec oreillette, qui transforme tout marcheur en présentateur de JT, est censé permettre de communiquer quand on a les mains prises. Pourtant, ces cadres sup ou ces frangines qui hurlent leurs préoccupations les plus intimes à qui veut les entendre ont toujours les mains libres et ballantes, sans attaché-case ni sac de commission. Quiconque a testé le kit mains libres sait d'ailleurs qu'il est impossible d'avoir les mains occupées. Sinon, comment reloger l'oreillette espiègle qui menace sans cesse de tomber ou redonner du mou au fil régulièrement coincé, tordu, enroulé. Inconvénient qui disparaît avec les téléphones miniatures directement greffés à l'oreille, excroissances particulièrement gracieuses et fréquentes chez les chauffeurs de taxi...
Bienvenue dans la société mutante de l'« interface homme-machine » (sic) où le corps se plie aux injonctions de la technologie. Au quotidien, le citadin est poussé à des postures inédites. Le tourniquet du métro, par exemple, suscite d'étranges comportements. A Paris, la plupart des usagères conservent leur passe Navigo dans leur sac à main avec lequel elles doivent frôler la borne magnétique pour provoquer le contact. Souvent en vain. Survient alors une séries de placages de sacs de toute beauté. Un peu plus à droite, en biais, paf, un grand coup en plein milieu. Zut, le cuir du sac doit être trop épais. Non, une brosse à cheveux empêche le contact. Dans le pire des cas, l'échec magnétique contraint la voyageuse à s'accroupir devant la borne et à fourrager dans sa besace. Moment d'émotion devant cette scène intemporelle, loin, très loin de toute technologie : une énervée fouillant dans son sac de fille.
La navigante n'est pas au bout de ses peines. Au bout du trajet l'attend la porte de son entreprise dont l'ouverture dépend d'un... passe magnétique. Deuxième danse du sac devant la serrure nouvelle génération. D'un côté à l'autre, jolis mouvements d'épaules, puis l'employée termine à nouveau son ballet accroupie, la tête dans le sac. Le progrès n'est pas bon pour les mollets. Une partie du corps encore négligée par ces scientifiques qui, il y a cinq ans, ont diagnostiqué chez les ados une mutation du pouce. A force de SMS et d'utilisation des manettes de consoles vidéo, il allait remplacer l'index. Cette tendance semble aujourd'hui s'inverser avec le dernier-né de l'interface : l'iPhone. Car c'est bien avec son deuxième doigt que l'homme moderne slide, c'est-à-dire feuillette ce téléphone-agenda-ordinateur-album de photos-juke-box comme un livre en papier bible. On s'étonne presque que l'objet ne finisse pas par susurrer « I love you » à son caressant propriétaire, qu'on a déjà entendu répondre à la voix de son GPS...
Bientôt la famille entière pourra aussi feuilleter la table du salon, à la manière de Tom Cruise dans Minority Report. Sur ce nouvel écran interactif et multifonction, on jouera avec des cartes virtuelles, on regardera ses photos de vacances digitales, ou on effleurera la touche « commander une pizza »... Le vocabulaire parental devra s'adapter. L'immémorial : « Les enfants, pourriez-vous débarrasser ? » se changera en : « Les chéris, pensez à effacer la table. »
Franchir une borne sans avoir à faire de halte, parler sans cesser de marcher, faire glisser son doigt pour ne plus vraiment toucher, réunir la télé, le frigo, la table et le bureau en une seule et même interface : dans les nouvelles postures nées de la technologie, pas de pause, de heurt, de dispersion, tout coule dans un même mouvement continuel. Inquiétante, cette lénifiante fuite en avant ? Pas tant qu'il y aura des brosses à cheveux dans les sacs des filles.
Aux Pays-Bas, l'herbe est moins verte qu'il y a encore dix ans...
http://www.telerama.fr/monde/a-amsterdam-l-herbe-est-moins-verte,31808.php
Mon cher Utrecht sur le Oudegracht, le Sarasani (qui a dû fermer ses portes fin août 2007) tout premier coffeeshop des Pays-bas (1968)...
Sinon, un sujet plus futile et mains libres – enfin presque
La nouvelle pantomime urbaine ne connaît pas de répit. Valider ses passes magnétiques dans le métro tout en envoyant des SMS, c'est si facile quand on téléphone avec un kit mains libres !
On croise de plus en plus de gens étranges dans nos rues. Gesticulant, parlant seuls, faisant de curieux gestes avec leurs doigts... Symptôme d'une vague grandissante d'incommunicabilité ? Au contraire. Une seconde après les avoir croisés et avoir compati, on réalise que ces bavards ne soliloquent pas. Ils téléphonent avec un kit mains libres. Cet appendice téléphonique avec oreillette, qui transforme tout marcheur en présentateur de JT, est censé permettre de communiquer quand on a les mains prises. Pourtant, ces cadres sup ou ces frangines qui hurlent leurs préoccupations les plus intimes à qui veut les entendre ont toujours les mains libres et ballantes, sans attaché-case ni sac de commission. Quiconque a testé le kit mains libres sait d'ailleurs qu'il est impossible d'avoir les mains occupées. Sinon, comment reloger l'oreillette espiègle qui menace sans cesse de tomber ou redonner du mou au fil régulièrement coincé, tordu, enroulé. Inconvénient qui disparaît avec les téléphones miniatures directement greffés à l'oreille, excroissances particulièrement gracieuses et fréquentes chez les chauffeurs de taxi...
Bienvenue dans la société mutante de l'« interface homme-machine » (sic) où le corps se plie aux injonctions de la technologie. Au quotidien, le citadin est poussé à des postures inédites. Le tourniquet du métro, par exemple, suscite d'étranges comportements. A Paris, la plupart des usagères conservent leur passe Navigo dans leur sac à main avec lequel elles doivent frôler la borne magnétique pour provoquer le contact. Souvent en vain. Survient alors une séries de placages de sacs de toute beauté. Un peu plus à droite, en biais, paf, un grand coup en plein milieu. Zut, le cuir du sac doit être trop épais. Non, une brosse à cheveux empêche le contact. Dans le pire des cas, l'échec magnétique contraint la voyageuse à s'accroupir devant la borne et à fourrager dans sa besace. Moment d'émotion devant cette scène intemporelle, loin, très loin de toute technologie : une énervée fouillant dans son sac de fille.
La navigante n'est pas au bout de ses peines. Au bout du trajet l'attend la porte de son entreprise dont l'ouverture dépend d'un... passe magnétique. Deuxième danse du sac devant la serrure nouvelle génération. D'un côté à l'autre, jolis mouvements d'épaules, puis l'employée termine à nouveau son ballet accroupie, la tête dans le sac. Le progrès n'est pas bon pour les mollets. Une partie du corps encore négligée par ces scientifiques qui, il y a cinq ans, ont diagnostiqué chez les ados une mutation du pouce. A force de SMS et d'utilisation des manettes de consoles vidéo, il allait remplacer l'index. Cette tendance semble aujourd'hui s'inverser avec le dernier-né de l'interface : l'iPhone. Car c'est bien avec son deuxième doigt que l'homme moderne slide, c'est-à-dire feuillette ce téléphone-agenda-ordinateur-album de photos-juke-box comme un livre en papier bible. On s'étonne presque que l'objet ne finisse pas par susurrer « I love you » à son caressant propriétaire, qu'on a déjà entendu répondre à la voix de son GPS...
Bientôt la famille entière pourra aussi feuilleter la table du salon, à la manière de Tom Cruise dans Minority Report. Sur ce nouvel écran interactif et multifonction, on jouera avec des cartes virtuelles, on regardera ses photos de vacances digitales, ou on effleurera la touche « commander une pizza »... Le vocabulaire parental devra s'adapter. L'immémorial : « Les enfants, pourriez-vous débarrasser ? » se changera en : « Les chéris, pensez à effacer la table. »
Franchir une borne sans avoir à faire de halte, parler sans cesser de marcher, faire glisser son doigt pour ne plus vraiment toucher, réunir la télé, le frigo, la table et le bureau en une seule et même interface : dans les nouvelles postures nées de la technologie, pas de pause, de heurt, de dispersion, tout coule dans un même mouvement continuel. Inquiétante, cette lénifiante fuite en avant ? Pas tant qu'il y aura des brosses à cheveux dans les sacs des filles.
Guillemette Odicino (Télérama n° 3061)
Poet- DJ LittéRieuse
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Localisation : Sous les toits de la Normandie
Loisirs : dé-lire, boite à musique; étoiles et toiles, chemins de traverses
Date d'inscription : 31/05/2005
Re: des Oh! et débats
Je ne vois pas trop le rapport entre les pays bas et les mutations humaines...
... perso, c'est mon majeur que j'utilise pour utiliser le touchpad de mon ordinateur portable...
... je reste convaincue que tout ça, on ne l'empêchera pas et que ce n'est qu'en apprenant à l'utiliser qu'on pourra le maîtriser de façon "intelligente"...
... perso, c'est mon majeur que j'utilise pour utiliser le touchpad de mon ordinateur portable...
... je reste convaincue que tout ça, on ne l'empêchera pas et que ce n'est qu'en apprenant à l'utiliser qu'on pourra le maîtriser de façon "intelligente"...
tiijan- Ne lez'ine pas avec les mots !
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Localisation : à la presque-ville du fromage
Emploi : avec des mini martiens
Loisirs : cherche à dominer le mooonde
Date d'inscription : 30/05/2005
Re: des Oh! et débats
Tu cherches le relais entre les Pays-Bas et les contorsions du digital being alors hume plutôt l'air du temps, Tijan, à défaut de la moquette ou de l'herbe qui t'entoure
C'est juste que j'ai décidé de rassembler par ici des petits papiers (recyclables ou biodégradables) au rythme d'un tour du monde et de la rotation de la Terre ; enfin disons à un certaine vitesse qui autorise le temps de l'étude
C'est juste que j'ai décidé de rassembler par ici des petits papiers (recyclables ou biodégradables) au rythme d'un tour du monde et de la rotation de la Terre ; enfin disons à un certaine vitesse qui autorise le temps de l'étude
Poet- DJ LittéRieuse
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Localisation : Sous les toits de la Normandie
Loisirs : dé-lire, boite à musique; étoiles et toiles, chemins de traverses
Date d'inscription : 31/05/2005
Re: des Oh! et débats
Bon, j'ai pas fait exprès mais, coïncidence oblige, qu'on reparle encore des Pays-Bas dans ma rubrique tendance éco-sensible.
Comme j'aime l'ambiance des dance-floors électro, je me réjouierai de pouvoir bientôt me rendre dans une boîte "écoresponsable" près de chez oim où je puisse participer à fournir de l'énergie (high voltage) .
A Rotterdam, depuis le 4 septembre, Watt, la première boîte de nuit “écoresponsable” du monde, crée sa propre énergie grâce aux mouvements des danseurs captés par le sol. Résultat : 30 % en moins sur la facture d’électricité. Allez, on accélère.
Oublions le toit végétalisé, les éoliennes et les panneaux solaires, la récupération de l'eau de pluie pour alimenter les toilettes. Watt, la première boîte de nuit « écoresponsable » du monde, ouverte depuis le 4 septembre à Rotterdam, mérite surtout que l'on s'intéresse à son sol : un parquet composé de cubes transparents illuminés par des diodes alimentées en énergie par les mouvements des danseurs. Sous les pavés translucides, des ressorts et des aimants qui transforment en énergie les sautillements des clubbers. Plus on bouge, plus le sol s'illumine. Ce concept, inventé par le laboratoire d'innovation écologique néerlandais Enviu et par sa filiale Sustainable Dance Club, sera exporté à Londres et à New York. Les créateurs espèrent réduire les factures d'électricité de 30 % (une boîte de nuit consomme cent cinquante fois l'énergie d'un foyer moyen).
Excepté le rugbyman dans la boue, le Parisien zigzaguant entre les étrons ou le Japonais pendant un séisme, l'être humain est rarement en interaction avec son sol. Les danseurs vivront donc une expérience originale, dont on peut se faire une idée sur internet ( http://www.sustainabledanceclub.com/index.php?t=newsd&n=37 ). La mécanique mouvante encapsulée dans ces cubes semble étrangement produire chez les danseurs une émotion vibratoire, suave. Quelque chose qui tient de la pulsation collective (il faut secouer deux mille danseurs pour éclairer la boîte). Bref, c'est le kiff. Rarement un machin aussi bête qu'un sol aura su aussi bien électriser un homme. Et réciproquement.
On pourra gloser sur l'aspect marketing d'une innovation écolo qui s'implante dans le lieu béni des apparences. On aura tort. La boîte de nuit est aussi un milieu propice à la parade amoureuse qui précède la reproduction. Il semble logique qu'un système énergétique respectueux de l'environnement prenne racine dans un espace où se joue la survie de l'espèce. Par ailleurs, l'utilisation du mouvement comme source d'énergie agite vraiment les laboratoires. Le tremblement des rails des trains ou des tramways, les pas (6 à 8 watts pour un pas) des millions de voyageurs qui arpentent les gares, tout ce qui bouge, peut, à terme, être transformé en énergie. On imagine même des vêtements à base de nanofibres d'oxyde de zinc capables de transformer nos mouvements (battements de cœur compris) en électricité pour alimenter, par exemple, un lecteur MP3. De quoi réinventer les formes de tout ce qui nous entoure et qui vibre.
Comme j'aime l'ambiance des dance-floors électro, je me réjouierai de pouvoir bientôt me rendre dans une boîte "écoresponsable" près de chez oim où je puisse participer à fournir de l'énergie (high voltage) .
A Rotterdam, depuis le 4 septembre, Watt, la première boîte de nuit “écoresponsable” du monde, crée sa propre énergie grâce aux mouvements des danseurs captés par le sol. Résultat : 30 % en moins sur la facture d’électricité. Allez, on accélère.
Oublions le toit végétalisé, les éoliennes et les panneaux solaires, la récupération de l'eau de pluie pour alimenter les toilettes. Watt, la première boîte de nuit « écoresponsable » du monde, ouverte depuis le 4 septembre à Rotterdam, mérite surtout que l'on s'intéresse à son sol : un parquet composé de cubes transparents illuminés par des diodes alimentées en énergie par les mouvements des danseurs. Sous les pavés translucides, des ressorts et des aimants qui transforment en énergie les sautillements des clubbers. Plus on bouge, plus le sol s'illumine. Ce concept, inventé par le laboratoire d'innovation écologique néerlandais Enviu et par sa filiale Sustainable Dance Club, sera exporté à Londres et à New York. Les créateurs espèrent réduire les factures d'électricité de 30 % (une boîte de nuit consomme cent cinquante fois l'énergie d'un foyer moyen).
Excepté le rugbyman dans la boue, le Parisien zigzaguant entre les étrons ou le Japonais pendant un séisme, l'être humain est rarement en interaction avec son sol. Les danseurs vivront donc une expérience originale, dont on peut se faire une idée sur internet ( http://www.sustainabledanceclub.com/index.php?t=newsd&n=37 ). La mécanique mouvante encapsulée dans ces cubes semble étrangement produire chez les danseurs une émotion vibratoire, suave. Quelque chose qui tient de la pulsation collective (il faut secouer deux mille danseurs pour éclairer la boîte). Bref, c'est le kiff. Rarement un machin aussi bête qu'un sol aura su aussi bien électriser un homme. Et réciproquement.
On pourra gloser sur l'aspect marketing d'une innovation écolo qui s'implante dans le lieu béni des apparences. On aura tort. La boîte de nuit est aussi un milieu propice à la parade amoureuse qui précède la reproduction. Il semble logique qu'un système énergétique respectueux de l'environnement prenne racine dans un espace où se joue la survie de l'espèce. Par ailleurs, l'utilisation du mouvement comme source d'énergie agite vraiment les laboratoires. Le tremblement des rails des trains ou des tramways, les pas (6 à 8 watts pour un pas) des millions de voyageurs qui arpentent les gares, tout ce qui bouge, peut, à terme, être transformé en énergie. On imagine même des vêtements à base de nanofibres d'oxyde de zinc capables de transformer nos mouvements (battements de cœur compris) en électricité pour alimenter, par exemple, un lecteur MP3. De quoi réinventer les formes de tout ce qui nous entoure et qui vibre.
Nicolas Delesalle
Télérama n° 3061
Télérama n° 3061
Poet- DJ LittéRieuse
- Nombre de messages : 909
Localisation : Sous les toits de la Normandie
Loisirs : dé-lire, boite à musique; étoiles et toiles, chemins de traverses
Date d'inscription : 31/05/2005
Re: des Oh! et débats
Coucou !
Hé, pour les pass qu'il faut pour pouvoir entrer dans sa boite ou son administration...
Moi je n'ai pas de badge et je passe donc par derrière, par le parking... qui lui, est ouvert avant 9h, le matin...
Pi le midi, ces horaires m'obligent à revenir soit avant 13h30 (heure de fermeture du portail du parking), soit après 14h (heure d'ouverture de l'accueil).
Mais bon, on s'en fout des vacataires ! Déjà, on les prend quelques mois au smic, de façon à pas payer les Ass & dic, on ne va pas leur filer des badges, non plus !
Hé, pour les pass qu'il faut pour pouvoir entrer dans sa boite ou son administration...
Moi je n'ai pas de badge et je passe donc par derrière, par le parking... qui lui, est ouvert avant 9h, le matin...
Pi le midi, ces horaires m'obligent à revenir soit avant 13h30 (heure de fermeture du portail du parking), soit après 14h (heure d'ouverture de l'accueil).
Mais bon, on s'en fout des vacataires ! Déjà, on les prend quelques mois au smic, de façon à pas payer les Ass & dic, on ne va pas leur filer des badges, non plus !
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