Amélie Mauresmo
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Re: Amélie Mauresmo
ouaisssssssssssssssssss allerrrrrrrrrrrrr mauresmoooooo :D
aude- Ne se Lez pas faire
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Re: Amélie Mauresmo
demain sur la 2 à 16h00 le match est restransmit
aude- Ne se Lez pas faire
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Re: Amélie Mauresmo
elle a perdu, tant pis!
c'était un joli match!
elle réussira une prochaine fois!
c'est une battante!
c'était un joli match!
elle réussira une prochaine fois!
c'est une battante!
speed_TT- Invité
Re: Amélie Mauresmo
oui trés beau match de haut niveau.Sinon le resultat 6-4/6-3 pour Henin-Hardenne.Bravo encore aux 2 joueuses
aude- Ne se Lez pas faire
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Re: Amélie Mauresmo
Une interview intéressante d'Amélie sur le site de L'Equipe :
http://www.lequipe.fr/Tennis/131106_MAURESMO.html
LE JEU SANS EGO
Par Sophie DORGAN
De passage dans nos locaux, Amélie Mauresmo évoque l'évolution de son jeu qui s'est traduite cette saison par deux victoires en Grands Chelem. Du déclic au Masters 2005 aux améliorations au fil du temps, elle a mis en adéquation son jeu avec sa personnalité. Et ça lui va bien. Dans un 2e volet, elle explique l'aspect psychologique.
«Mary m'a poussée à élever mon niveau»
«Amélie Mauresmo, vous évoquez souvent un déclic lors du Masters 2005 à Los Angeles pour expliquer votre saison. Mais n'est-ce pas tout simplement une continuité ?
Dans l'ensemble, j'ai progressé par petites étapes et j'ai passé des petits caps au fur et à mesure. Mais il y a vraiment eu un déclic au Masters où j'ai vraiment compris beaucoup de choses. Je cherchais depuis un moment, j'avais des débuts de réponse ici et là, ce sont ces petits caps-là. Mais les vraies sensations, les vraies réponses et la vraie "maîtrise" se sont produits à Los Angeles.
La défaite à l'US Open 2005 contre Mary Pierce vous a énervée et vous gagnez après le Masters contre elle. Cette année, vous avez vécu quasiment la même chose après le premier match contre Nadia Petrova. La révolte est-elle un moteur ?
A ce moment-là, c'était l'orgueil. C'était la première fois depuis six ans qu'une Française venait me "titiller" et me challenger ma place de numéro 1 en France. Rétrospectivement, je pense que c'était bien. Mary m'a beaucoup appris avec sa mentalité à l'américaine de ne pas avoir peur, d'attaquer les choses bille en tête, de s'appuyer sur ses certitudes et ses forces. Elle m'a poussée indirectement à élever mon niveau de jeu, à voir les choses différemment et tennistiquement à passer à autre chose.
Même au niveau du jeu ?
Oui parce que la défaite était cinglante. Elle voulait dire concrètement que ces joueuses-là, quand elles jouent bien voire très bien, cela ne passe pas. Alors qu'est-ce qu'on fait ? C'était encore quelque chose à remettre en question. Il faut en parler, savoir ce qu'on fait pour repartir dans le bon sens.
Et cette saison, vous battez de nombreuses grandes frappeuses comme Lindsay Davenport, Serena Williams...
Derrière cette réflexion, je bats Kim Clijsters, Mary Pierce, Maria Sharapova au Masters 2005. Aujourd'hui, je n'affronte que des filles qui jouent comme cela. Avant, si elles étaient dans un jour moyen, je passais, mais si elles jouaient vraiment très bien, je perdais quasiment neuf fois sur dix. Il a donc fallu faire évoluer les choses. Et finalement, ce n'est vraiment rien, ce sont de toutes petites questions de choix, savoir oser.
Vous prenez des notes pour vous souvenir de ces petites choses ?
Non, j'ai un disque dur là (elle montre sa tête). Je retiens tout. Même si je les écrivais, je ne les regarderai jamais (rires).
Faire les bons choix
Le déclic est donc venu du jeu. Vous avez toujours eu un jeu très complet, mais la différence se fait aujourd'hui sur les bons choix ?
J'ai une palette de coups peut-être un peu plus variée que la plupart des filles, qui frappent globalement à plat des deux côtés du fond du court. Et sur cette palette, il faut faire des choix. Si on ne fait pas les bons choix, on ne se retrouve pas dans le timing. L'important était donc de trouver mon jeu et de savoir qu'en faisant telle chose à tel moment, cela s'emboîtait pour premièrement me faire plaisir, et deuxièmement perturber mes adversaires. Aujourd'hui, les filles ne savent pas, elles se demandent si je vais faire service-volée, rester au fond, faire un lift, un chip. Finalement, c'est une incertitude quasiment permanente.
Cette saison, vous avez beaucoup utilisé les retours en contre. Cela procède-t-il de la même logique ?
Cela provient du jeu sur herbe. Avec ma technique et ma prise de coup droit, je me suis rendu compte que je n'étais pas performante, je ratais, je livrais une balle vraiment courte lorsque certaines filles servaient à 180 km/h voire plus sur des surfaces rapides. Naturellement, je me suis donc orientée vers le contre et cela m'a bien aidée.
Aujourd'hui, vous avez trouvé votre jeu ?
Avant, j'essayais des choses qui ne collaient pas à ma technique et à ce que je suis. Ce n'était pas le bon choix. J'essayais de remettre du lift, de la puissance mais ce n'était pas la bonne direction. Aujourd'hui, dans mon jeu et dans ma carrière, j'ai le sentiment de savoir ce qu'il faut que je fasse. Quand je suis sur le court et que cela ne se passe pas bien, j'ai globalement une vision beaucoup plus lucide.»
L'évolution de son jeu s'accompagne d'un changement d'attitude avec un comportement plus affirmé sur le court. Les victoires aidant, Amélie Mauresmo a pris confiance et la grande joueuse est devenue une championne. Et elle commence à le sentir. Les autres joueuses aussi...
«Je suis plus sereine et cela se sent»
«Amélie Mauresmo, au-delà de votre jeu, votre attitude sur le court a aussi changé. Aujourd'hui, vous impressionnez certaines adversaires à l'image de Mara Santangelo à l'US Open.
Depuis le Masters 2005, je suis beaucoup plus sereine, cela se sent et les filles le voient.
Vous en jouez de ce côté "impressionnant", comme pouvait le faire Serena Williams par exemple ?
Non. Je sais que cela marche pour moi et que c'est comme cela qu'il faut que je sois. Cela me met dans une bonne position.
Comme courir lors du changement de côté ?
Je le fais pour moi. Il me semble que j'ai commencé à Wimbledon. J'essaie d'avoir un certain calme, une certaine lucidité et dans les moments où ce calme me fait "subir", j'essaie de m'exprimer un petit plus. Il faut que cela vive.
Il y a encore peu de temps, vous étiez toujours dans l'euphémisme, vous parliez des championnes sans jamais vous inclure dans la liste. Aujourd'hui, cela a-t-il un peu changé ?
Oui. Surtout depuis Wimbledon. Juste après Wimbledon, je me souviens d'avoir eu un entretien avec Alain Deflassieux (journaliste du quotidien L'Equipe, ndlr) qui me disait : "tu as gagné deux Grands Chelems, tu es n°1 depuis tant de temps, etc", mais je lui répondais : "Wimbledon, pour moi c'est encore Steffi Graf, Martina Navratilova qui gagnent ce tournoi-là". Quelques mois plus tard, cela commence à faire son chemin et je commence à réaliser un peu plus que j'ai gagné deux Grands Chelem cette saison, le Masters l'an dernier, une finale encore cette année, n°1 pendant X mois dans la saison. Ça a de l'allure. Petit à petit, ça rentre.
Vous avez pris conscience de votre statut de championne ?
C'est bien que je prenne conscience de cela, de tous ces rêves de petite fille, ces choses qu'on ose à peine imaginer vivre quand on est enfant. C'est pour cela que j'ai mis autant de temps à y arriver, j'idéalisais tous ces moments de victoires, cette place de n°1, tous ces Grands Chelem. C'était quelque chose que je ne pouvais pas atteindre car je le voyais pour les grands, les champions, j'idéalisais le truc. Cet écart-là s'est réduit par le niveau de jeu et la confiance derrière s'est construite là-dessus. Cela ne m'empêche pas d'avoir encore des moments de doute.
«Je déteste perdre»
Pendant sept ans, vous avez beaucoup entendu que c'était un problème psychologique. Il faut un mental très fort pour tenir face à tous ces commentaires. Est-ce que cela vous a atteint ?
Cela m'atteignait surtout après les échecs. Aujourd'hui, je peux dire que j'ai une force énorme, mais je ne savais pas l'utiliser. A chaque fois, j'ai rebondi, je n'avais pas le choix de toutes les façons. Quand on regarde ces sept dernières années, c'est marrant de voir l'évolution. Au début, c'était : "quand est-ce qu'elle va gagner son premier Grand Chelem". Après c'était : "cela commence à tarder". Puis c'était : "elle n'y arrivera peut-être jamais". Et il y a deux mois, c'était : "est-ce qu'elle va faire le petit Chelem". C'est une blague parce que tout le monde m'a saoulée pendant X temps sur mes nerfs, etc. et là, les mêmes personnes me demandent si je vais faire le Petit Chelem. Comme quoi, il faut laisser les choses se faire.
Et c'est facile de laisser ces choses-là à l'écart ?
Non. Mais il y a peut-être des athlètes qui s'en moquent.
Comment fait-on pour surmonter tout cela ?
Je pense que j'ai de l'orgueil, je déteste perdre dans tout ce que je fais. Bien sûr, il existait des moments où je me disais : "je n'y arrive pas, cela ne passe pas". Mais cela m'énervait tellement que je repartais.
Ne plus lire la presse vous a aidée ?
Oui. Dans les moments où je me sentais agressée, critiquée parfois de façon injustifiée - mais c'est toujours pareil quand cela nous concerne, on n'est pas toujours objectif - cela me touchait. J'avais cette sensibilité qui faisait que cela me touchait. Alors après la Fed Cup, je me suis dit : "c'est fini je ne lis plus la presse".»
http://www.lequipe.fr/Tennis/131106_MAURESMO.html
LE JEU SANS EGO
Par Sophie DORGAN
De passage dans nos locaux, Amélie Mauresmo évoque l'évolution de son jeu qui s'est traduite cette saison par deux victoires en Grands Chelem. Du déclic au Masters 2005 aux améliorations au fil du temps, elle a mis en adéquation son jeu avec sa personnalité. Et ça lui va bien. Dans un 2e volet, elle explique l'aspect psychologique.
«Mary m'a poussée à élever mon niveau»
«Amélie Mauresmo, vous évoquez souvent un déclic lors du Masters 2005 à Los Angeles pour expliquer votre saison. Mais n'est-ce pas tout simplement une continuité ?
Dans l'ensemble, j'ai progressé par petites étapes et j'ai passé des petits caps au fur et à mesure. Mais il y a vraiment eu un déclic au Masters où j'ai vraiment compris beaucoup de choses. Je cherchais depuis un moment, j'avais des débuts de réponse ici et là, ce sont ces petits caps-là. Mais les vraies sensations, les vraies réponses et la vraie "maîtrise" se sont produits à Los Angeles.
La défaite à l'US Open 2005 contre Mary Pierce vous a énervée et vous gagnez après le Masters contre elle. Cette année, vous avez vécu quasiment la même chose après le premier match contre Nadia Petrova. La révolte est-elle un moteur ?
A ce moment-là, c'était l'orgueil. C'était la première fois depuis six ans qu'une Française venait me "titiller" et me challenger ma place de numéro 1 en France. Rétrospectivement, je pense que c'était bien. Mary m'a beaucoup appris avec sa mentalité à l'américaine de ne pas avoir peur, d'attaquer les choses bille en tête, de s'appuyer sur ses certitudes et ses forces. Elle m'a poussée indirectement à élever mon niveau de jeu, à voir les choses différemment et tennistiquement à passer à autre chose.
Même au niveau du jeu ?
Oui parce que la défaite était cinglante. Elle voulait dire concrètement que ces joueuses-là, quand elles jouent bien voire très bien, cela ne passe pas. Alors qu'est-ce qu'on fait ? C'était encore quelque chose à remettre en question. Il faut en parler, savoir ce qu'on fait pour repartir dans le bon sens.
Et cette saison, vous battez de nombreuses grandes frappeuses comme Lindsay Davenport, Serena Williams...
Derrière cette réflexion, je bats Kim Clijsters, Mary Pierce, Maria Sharapova au Masters 2005. Aujourd'hui, je n'affronte que des filles qui jouent comme cela. Avant, si elles étaient dans un jour moyen, je passais, mais si elles jouaient vraiment très bien, je perdais quasiment neuf fois sur dix. Il a donc fallu faire évoluer les choses. Et finalement, ce n'est vraiment rien, ce sont de toutes petites questions de choix, savoir oser.
Vous prenez des notes pour vous souvenir de ces petites choses ?
Non, j'ai un disque dur là (elle montre sa tête). Je retiens tout. Même si je les écrivais, je ne les regarderai jamais (rires).
Faire les bons choix
Le déclic est donc venu du jeu. Vous avez toujours eu un jeu très complet, mais la différence se fait aujourd'hui sur les bons choix ?
J'ai une palette de coups peut-être un peu plus variée que la plupart des filles, qui frappent globalement à plat des deux côtés du fond du court. Et sur cette palette, il faut faire des choix. Si on ne fait pas les bons choix, on ne se retrouve pas dans le timing. L'important était donc de trouver mon jeu et de savoir qu'en faisant telle chose à tel moment, cela s'emboîtait pour premièrement me faire plaisir, et deuxièmement perturber mes adversaires. Aujourd'hui, les filles ne savent pas, elles se demandent si je vais faire service-volée, rester au fond, faire un lift, un chip. Finalement, c'est une incertitude quasiment permanente.
Cette saison, vous avez beaucoup utilisé les retours en contre. Cela procède-t-il de la même logique ?
Cela provient du jeu sur herbe. Avec ma technique et ma prise de coup droit, je me suis rendu compte que je n'étais pas performante, je ratais, je livrais une balle vraiment courte lorsque certaines filles servaient à 180 km/h voire plus sur des surfaces rapides. Naturellement, je me suis donc orientée vers le contre et cela m'a bien aidée.
Aujourd'hui, vous avez trouvé votre jeu ?
Avant, j'essayais des choses qui ne collaient pas à ma technique et à ce que je suis. Ce n'était pas le bon choix. J'essayais de remettre du lift, de la puissance mais ce n'était pas la bonne direction. Aujourd'hui, dans mon jeu et dans ma carrière, j'ai le sentiment de savoir ce qu'il faut que je fasse. Quand je suis sur le court et que cela ne se passe pas bien, j'ai globalement une vision beaucoup plus lucide.»
L'évolution de son jeu s'accompagne d'un changement d'attitude avec un comportement plus affirmé sur le court. Les victoires aidant, Amélie Mauresmo a pris confiance et la grande joueuse est devenue une championne. Et elle commence à le sentir. Les autres joueuses aussi...
«Je suis plus sereine et cela se sent»
«Amélie Mauresmo, au-delà de votre jeu, votre attitude sur le court a aussi changé. Aujourd'hui, vous impressionnez certaines adversaires à l'image de Mara Santangelo à l'US Open.
Depuis le Masters 2005, je suis beaucoup plus sereine, cela se sent et les filles le voient.
Vous en jouez de ce côté "impressionnant", comme pouvait le faire Serena Williams par exemple ?
Non. Je sais que cela marche pour moi et que c'est comme cela qu'il faut que je sois. Cela me met dans une bonne position.
Comme courir lors du changement de côté ?
Je le fais pour moi. Il me semble que j'ai commencé à Wimbledon. J'essaie d'avoir un certain calme, une certaine lucidité et dans les moments où ce calme me fait "subir", j'essaie de m'exprimer un petit plus. Il faut que cela vive.
Il y a encore peu de temps, vous étiez toujours dans l'euphémisme, vous parliez des championnes sans jamais vous inclure dans la liste. Aujourd'hui, cela a-t-il un peu changé ?
Oui. Surtout depuis Wimbledon. Juste après Wimbledon, je me souviens d'avoir eu un entretien avec Alain Deflassieux (journaliste du quotidien L'Equipe, ndlr) qui me disait : "tu as gagné deux Grands Chelems, tu es n°1 depuis tant de temps, etc", mais je lui répondais : "Wimbledon, pour moi c'est encore Steffi Graf, Martina Navratilova qui gagnent ce tournoi-là". Quelques mois plus tard, cela commence à faire son chemin et je commence à réaliser un peu plus que j'ai gagné deux Grands Chelem cette saison, le Masters l'an dernier, une finale encore cette année, n°1 pendant X mois dans la saison. Ça a de l'allure. Petit à petit, ça rentre.
Vous avez pris conscience de votre statut de championne ?
C'est bien que je prenne conscience de cela, de tous ces rêves de petite fille, ces choses qu'on ose à peine imaginer vivre quand on est enfant. C'est pour cela que j'ai mis autant de temps à y arriver, j'idéalisais tous ces moments de victoires, cette place de n°1, tous ces Grands Chelem. C'était quelque chose que je ne pouvais pas atteindre car je le voyais pour les grands, les champions, j'idéalisais le truc. Cet écart-là s'est réduit par le niveau de jeu et la confiance derrière s'est construite là-dessus. Cela ne m'empêche pas d'avoir encore des moments de doute.
«Je déteste perdre»
Pendant sept ans, vous avez beaucoup entendu que c'était un problème psychologique. Il faut un mental très fort pour tenir face à tous ces commentaires. Est-ce que cela vous a atteint ?
Cela m'atteignait surtout après les échecs. Aujourd'hui, je peux dire que j'ai une force énorme, mais je ne savais pas l'utiliser. A chaque fois, j'ai rebondi, je n'avais pas le choix de toutes les façons. Quand on regarde ces sept dernières années, c'est marrant de voir l'évolution. Au début, c'était : "quand est-ce qu'elle va gagner son premier Grand Chelem". Après c'était : "cela commence à tarder". Puis c'était : "elle n'y arrivera peut-être jamais". Et il y a deux mois, c'était : "est-ce qu'elle va faire le petit Chelem". C'est une blague parce que tout le monde m'a saoulée pendant X temps sur mes nerfs, etc. et là, les mêmes personnes me demandent si je vais faire le Petit Chelem. Comme quoi, il faut laisser les choses se faire.
Et c'est facile de laisser ces choses-là à l'écart ?
Non. Mais il y a peut-être des athlètes qui s'en moquent.
Comment fait-on pour surmonter tout cela ?
Je pense que j'ai de l'orgueil, je déteste perdre dans tout ce que je fais. Bien sûr, il existait des moments où je me disais : "je n'y arrive pas, cela ne passe pas". Mais cela m'énervait tellement que je repartais.
Ne plus lire la presse vous a aidée ?
Oui. Dans les moments où je me sentais agressée, critiquée parfois de façon injustifiée - mais c'est toujours pareil quand cela nous concerne, on n'est pas toujours objectif - cela me touchait. J'avais cette sensibilité qui faisait que cela me touchait. Alors après la Fed Cup, je me suis dit : "c'est fini je ne lis plus la presse".»
Re: Amélie Mauresmo
vi je l'ai parcouru hier, sympa cette interview.
Très sport de la part d'Amélie de mettre ainsi en avant la 'participation' de Mary .... on aurait aimé avoir des nouvelles d'ailleurs !
J'aime beaucoup sa manière de gérer la presse et cette histoire de nerfs ... je pense qu'elle a fait le bon choix en occultant tout ça.
Viii je sais j'suis pas mega objective puisque je suis fan depuis 2000
Très sport de la part d'Amélie de mettre ainsi en avant la 'participation' de Mary .... on aurait aimé avoir des nouvelles d'ailleurs !
J'aime beaucoup sa manière de gérer la presse et cette histoire de nerfs ... je pense qu'elle a fait le bon choix en occultant tout ça.
Viii je sais j'suis pas mega objective puisque je suis fan depuis 2000
Kooky- Ne se Lez pas faire
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Date d'inscription : 26/06/2005
Re: Amélie Mauresmo
Pour les fans d'Amélie,ce soir à 17h45 sur France2,il y a un repportage sur la Demoiselle
Lilo- Lez'arde sur le forum
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Loisirs : beaucoup trop
Date d'inscription : 26/09/2005
Re: Amélie Mauresmo
argh j'lai loupé ... bon ben tant pis, de toute façon à cette heure là j'étais pas chez moi
Kooky- Ne se Lez pas faire
- Nombre de messages : 2819
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Localisation : Argenteuil (95)
Date d'inscription : 26/06/2005
Re: Amélie Mauresmo
J'ai trouvé ça sans plus!
Lilo- Lez'arde sur le forum
- Nombre de messages : 537
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Loisirs : beaucoup trop
Date d'inscription : 26/09/2005
Re: Amélie Mauresmo
Bonjour tout le monde,
Voila une petite info qui peut faire plaisir, Amélie Mauresmo sera tête de serie numéro 1 à Melbourne, (Open d'Australie). Justine Hénin-Hardenne étant absente pour cause de probléme personnelles.
Voila une petite info qui peut faire plaisir, Amélie Mauresmo sera tête de serie numéro 1 à Melbourne, (Open d'Australie). Justine Hénin-Hardenne étant absente pour cause de probléme personnelles.
Re: Amélie Mauresmo
Elle l'est également pour l'open de Sydney
Lilo- Lez'arde sur le forum
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Loisirs : beaucoup trop
Date d'inscription : 26/09/2005
Re: Amélie Mauresmo
magnifique cette photo!
Lilo- Lez'arde sur le forum
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Loisirs : beaucoup trop
Date d'inscription : 26/09/2005
Re: Amélie Mauresmo
Amélie a battu Golovin au premier match de l'open de Sydney, en trois sets
Kooky- Ne se Lez pas faire
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Localisation : Argenteuil (95)
Date d'inscription : 26/06/2005
Re: Amélie Mauresmo
celle-là n'est pas mal non plus (perso j'fais ça, et c'est l'entorse assurée voir le grand écart avec double claquage )
Bon Amélie a été laminée par Jankovic (6/0 dans le second set !) qui affrontera Clijsters en finale
Bon Amélie a été laminée par Jankovic (6/0 dans le second set !) qui affrontera Clijsters en finale
Kooky- Ne se Lez pas faire
- Nombre de messages : 2819
Age : 49
Localisation : Argenteuil (95)
Date d'inscription : 26/06/2005
Re: Amélie Mauresmo
Désolée Kooky (j'ai vu ton avatar)....
Mais perso, je ne la trouve pas très attirante... !
Sans indiscrétion, tu l'a choisi pour le symbole ou parce qu'elle te plaît ?
Mais perso, je ne la trouve pas très attirante... !
Sans indiscrétion, tu l'a choisi pour le symbole ou parce qu'elle te plaît ?
Eliandre- Lez'er moi entrer !
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Date d'inscription : 11/01/2007
Re: Amélie Mauresmo
elle est super comme nana, la mauresmo, en plus elle a de jolis seins qui se balancent pratiquement tout le temps!
speed_TT- Invité
Re: Amélie Mauresmo
elle a de jolis seins qui se balancent pratiquement tout le temps!
Elle coure trop en fond de cours donc....
Eliandre- Lez'er moi entrer !
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Date d'inscription : 11/01/2007
Re: Amélie Mauresmo
je ne l'ai choisi ni par symbole ni pour son look, c'est la meilleure joueuse de tennis française de l'histoire après Mary Pierce ... les mecs peuvent aller se rhabiller face à son palmarès !!
Kooky- Ne se Lez pas faire
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Localisation : Argenteuil (95)
Date d'inscription : 26/06/2005
Re: Amélie Mauresmo
et toc!!!
Lilo- Lez'arde sur le forum
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Loisirs : beaucoup trop
Date d'inscription : 26/09/2005
Re: Amélie Mauresmo
Jolie raquette
sunflower- Lez à l'aise
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