vous etiez un enfant comment petite?

seule? entourée? reveuse? malheureuse???ect

seule: dans un monde imaginaire qui me convenait, refugiée dasn la musique, me balançant comme les autistes ( je le fais toujours), à rêver d' être autre, ailleurs...et sans amis, ca me faisait trop peur.

Moi enfant..hum toute une histoire..
Je dirais tres perturbée..pas confiance dans les adultes, accroupie dans un coin ou cachée sous mon lit, a lire ou a pleurer, a penser..

comme suis toujours une enfant, eh oui, faut l'admettre, il y en a qui a 20 ans..nut nuuut (oups dsl ^^)
ben je toujours pas confiance aux adultes :evil: missants
je peut plus lire sous mon lit..j'ai plus de lit!!mais j'en ai trouvé un interessant

Petite, j'étais garçon manqué, j'avais bcp d'amis à l'école, pleins d'amis filles, pleins d'amis garçons ... mais ce n'était que des amis d'école car j'habitais bcp trop loin pour les voir le soir ou le we.
En grandissant, je suis restée garçon manqué, enfin androgyne dit-on maintenant ... par contre, j'ai des amis qui me téléphonent, qui m'écrivent, que viennent me voir super super souvent, et à part qqs "heureux élus", je fais tjs la morte. J'ai tjs l'impression de manquer d'air, trop solitaire !

Petite j'étais un garçon manqué avec toi plein d'amis et maintenant je suis tjs un peu garçon manqué mais mais cheveux ont bien poussés et g plus autant d'amis qu'avant... Mais c pas grave g quand même trouvé quelqu'un à qui preter mon lit (hein mon ptit sushi? )

j'étais euh, pas très grande en fait

Non sérieusement, très garçon manqué et très solitaire à partir de 12-13 ans. Je les suis resté.

quand j'étais enfant j'étais adulte!
maintenant que je suis adulte je suis enfant!
pas eu d'enfance à la bonne époque
très esseulée, très autonome, très indépendante, très débrouillarde,
très solitaire!
mon éducation je l'ai faite seule!

Amusant, j'ai retrouvé des photos qui me rappellent cette époque.
Très entourée par mes soeurs et mon frère, gâtée par mon père, pas mal d'amis que malheureusement je ne gardais pas parce qu'on déménageait souvent. Toujours un peu plus grande que la moyenne.
Butée, autonome, très indépendante, un peu facétieuse. Parfois dans ma bulle de rêves. Je posais plein de questions parce que j'aimais bien tout comprendre.
En fait, je n'ai pas beaucoup changé.

Mon enfance, disons que je préfère oublier une bonne partie... Heureusement qu'il y avait ma famille. Pour résumer très peu d'amis, peur des autres, pas mal violente, grosses crises d'angoisses.... Tout un programme.

Enfant, je me sentais seule au milieu de ce monde d'adultes qui ne voyait rien ou ne voulait rien voir, j'étais une angoissée perpétuelle en me demandant ce qui allait me tomber sur le coin de la tronche, je haissais les vacances, l'enfer, les rentrées scolaires, je coûtais trop cher et je parlais peu, valait mieux pas. Bref je me suis sauvée et depuis sous certains aspects j'ai une vie d'adulte mais sous d'autres je suis une ado en pleine crise et je crois qu'il en sera ainsi pour encore très longtemps.

mon enfance : heureuse. (étant donné mon age, j'arrête l'enfance a 10-11 ans )

en Normandie : pleins d'ami(e)s : la bande de copains à la cité avec qui j'ai fais les 400 coups, un vrai garçon manqué :twisted: , la bande de copines à l'école.
enfant dans sa bulle, réveuse (et je le suis encore) ...

puis déménagement ds le Pas-de-calais :
un tout autre monde. je me renferme un peu sur moi même, je suis plus distante ... mais toujours autant de copains, découverte d'une grande famille du coté de ma mère ...

donc aucun problèmes majeurs jusqu'à 11 ans

Heureuse et triste.

Rêveuse, solitaire,et garçon manqué...
Enfance jusqu'à mes 10 ans à la campagne façon la pub kiri "v'aller voir les vaches", assez géniale, ambiance heureuse, mes frangins, vélo promenade, grandes vacances passées en caravane depuis le jour des vacs jusqu'à la veille de la rentrée, les potes dans les campings...A l'école pas trop d'amis, toujours entre deux classes voire toute seule dans le fond d'une classe, et surtout dans mon ptit monde à m'inventer des histoires.
Ensuite déménagement et entrée au collège, moins drôle. Encore plus solitaire : ambiance qui se dégrade à la maison, et au collège la différence d'âge qui se voit trop, fille de prof, bref toutes les tares. Je passe mon temps à dessiner, à écrire, à lire, j'ai juste une amie et en fait vu l'hypocrisie des autres ça me suffit. Un peu triste quand je passe les "boums" () sur une chaise.

Depuis je me suis un peu plus sociabilisée mais j'ai gardé ma bulle . Passée par le lycée, de vraies amies (que je ne vois plus maintenant), départ à Paris à 16 ans. Moins innocente et caractère plus trempé, les gens se trompent souvent à mon silence...

Quand j'étais enfant, j'étais enfant, puis j'ai grandi...
Hummm oué, on peut dire ça comme ça

Alors moi, j'étais comme ça:



ça explique un peu les kilos....




... pi fallait que je m'entraîne... pour nourrir ma blonde:



trop mimi ma blonde

Je retouve mon enfance dans le récit de Parigi...............

une enfance très sportive avec des parents qui voulaient tout pour leurs enfants............pour un meilleur retour sur investissement..............et cette attente qu'ils avaient de moi me mettait une telle pression que je ratais tout.............................j'étais une réveuse, tout le temps dans ma bulle, à dessiner, à lire et jouer des rôles........je détestais les maths et mes camarades me semblaient vulgaires et brutaux.......................................................

je suis comme toit Parigi, une éternelle ado en révolte...........qui a encore peur pour sa liberté...................

j'adorais faire des bulles et contempler leurs couleurs dans la lumière du printemps........................(et là, j'envoie la musique de la petite maison dans la prairie)...............................

ma mère était très dure et mon père absent..............................désengagé.............................................

aujourd'hui, je peux pardonner car je pense qu'etre parent, c'est obligatoirement faire des erreurs...............et si ces erreurs sont des erreurs d'amour.........comment ne pas pardonner?

Mais je n'arrive toujours pas à ma libérer de mon fardeau qui paralyse encore ma vie....................ce qui fait que je doute tellement de moi et que je ne me crois capable de rien.............je suis tétannisée en fait...................comme quand j'étais petite....................................................................

croquette a écrit:aujourd'hui, je peux pardonner car je pense qu'etre parent, c'est obligatoirement faire des erreurs...............et si ces erreurs sont des erreurs d'amour.........comment ne pas pardonner?

et si ce ne sont pas des erreurs d'amour? est ce qu'on peut pardonner?
des erreurs de jeunesse? des erreurs de jugements?
comment savoir et ou est la limite du pardonnable?

bon je m'egare la..

Petite, j'étais très rêveuse... à l'école primaire, j'avais toute la classe avec moi. On s'amusait souvent, avec ma meilleure amie du moment à se balader sur les lignes de l'espace (qui n'était autre que les lignes des terrains de basket ou de hand) et on s'imaginait dans une navette spatiale... je pilotais, j'étais presque toujours aux commandes du tableau de bord... qui n'était autre qu'une grande poubelle qui était dans la cours
J'avais honte de ma maladie... Heureusement qu'à l'école, tout le monde était de mon côté et ne me balançait pas des insultes par exemple... Parce que bon, quand mes crises d'épilepsie arrivaient, tout le monde m'entourait pour éviter que je tombe et quelques-uns partaient prévenir la maîtresse qui surveillait la cour... Ce qui me bouffait, c'était les fois où j'étais obligée d'aller avec la dame de service dans le local qui se trouvait au fond des toilettes des garçons (où ça puaiiiiiiit) pour aller changer de vêtements parce que j'en venais à faire dans ma culotte...
Cependant, je me souviens que pendant cette période, j'étais aussi assez heu... déjà portée sur la chose Je me souviens de sketchs qu'on faisait avec ma meilleure amie, où on imitait des personnages des Roucasseries et où on se pelottait pour faire rire les autres et où l'une se rapprochait toujours + de l'autre jusqu'à finir par la faire tomber du banc

Un peu plus tard, au collège, je me suis retrouvée beaucoup plus seule, ce qui m'a fait vraiment bizarre. J'avais encore quelques amies, ok, mais je mangeais souvent toute seule. Idem au lycée, j'étais souvent nichée à l'infirmerie et rejetée par les autres et j'ai du coup fini par être repliée sur moi-même...

'reusement que ça s'est arrangé par la suite !!! :twisted: :twisted: :twisted:

Mais dès l'enfance, j'étais déjà souvent aussi dans un monde d'adultes (toujours à suivre mes parents dans leurs soirées, par exemple)

quand j'étais petite je n'était pas grande ... j'avais que des copains garçons et les filles m'éxaspéré... avec le recul je me rend compte que j'ai fait ma pèriode de latence à l'envers lol ...
chaque mardi gras je me déguisais en clown et j'étais déjà une fervente revendicatrice, ne supportant pas l'injustice et défendant mes petits camarades contre la méchante maitresse de CE1 ...

et aprés on se demande pourquoi je suis éducatrice lol

sauvage, solitaire, distante, timide
avec le temps, ça s'arrange, mais ce n'est pas encore ça.

Malheusement ou heureusement, je ne sais pas puisque je ne m'en souviens pas de mon enfance !!!
Y a 1 ou 2 anecdotes ke mon gd frère m'a raconté, mais bon j'en sais guère plus : y a peut etre un signe avant coureur, c'est qu'une fois, j'ai mordu le sein d'une femme ki me gardait et je ne voulais plus le lacher !!! J'y pensé déjà apparament...
Et ceux ki auraient pu me narrer mon enfance, ne son plus là, alors voilà...

aqualy038 a écrit: y a peut etre un signe avant coureur, c'est qu'une fois, j'ai mordu le sein d'une femme ki me gardait et je ne voulais plus le lacher !!! J'y pensé déjà apparament...

Ah non non, j'espère que c'était pas trop avant coureur, car quand j'étais toute petite, un collègue de mon père etait venu à l'appartement, et avt même qu'il ait mis un pied sur le paillasson, je lui avais pincé avc mes petites mains ses ... comment dire, enfin vous voyez quoi. !!! THE honte pour les parents ! (moi hte comme trois pommes, je m'en foutais)

j'etais timide reveuse.Un peu solitaire.Peu d'amis même au college.Une enfance difficile.Suis tjrs au tps reveuse moins timide merci la musiqe lol.

Née dans une famille nombreuse (plus de 5) et que des gonzesses ...j'ai eu une enfance plus qu'intéressante!! Ce qui était difficile à trouver c'était un moment de solitude....c'était pire que dans un poulailler la maison!!
J'étais dans mon monde, réservée parfois très timide! butée, joueuse qu'avec mes soeurs, très sportive déjà (depuis ce n'est plus le cas eh ). C'est l'insouciance de mon enfance qui me manque le plus!! dire qu'à l'époque j'étais pressée de grandir....je ne l'ai pas apprécié à sa juste valeur .

Perso j'ai eu plusieurs 'phases' :
- maternelle/primaire : petite fille modèle, des tonnes d'amies/amis, des jumelles comme meilleures amies, on ne se quittait jamais.
- collège : les jumelles ayant rejoint une fille nian nian, j'étais toujours fourrée avec une bande de copains à faire les 400 coups (sécher les cours, débarquer chez les profs, etc). Mes meilleures années. Anecdote fun : avec un camarade de classe avec qui j'ai fait toutes mes classes on portait toujours les mêmes fringues qui étaient communes fille/garçon, à chaque nouveau blouson ça ne loupait pas, on avait le même !!
- lycée : privée catho (ben hu vi j'ai payé mes années 'collège'), majorité de filles qui pensaient maquillage/mecs, ça me saoulait => repli total sur moi.
- études sup' : encore pire, 3 ans d'enfer absolu, camarades de promo = gosses de riches => deuxième méga repli total sur moi.

Résultat maintenant je suis super réservée, timide, et un chouillat pas sur de moi. Dites z'avez fait comment pour redevenir 'normales' ?

A pluch'

Dyke to the bone.