Poèmes en Flammes
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Poèmes en Flammes
Voici un petit espace dédié aux poèmes qui se lachent dans la passion ardante du corps à corps...
Saphyre- Lez à l'aise
- Nombre de messages : 425
Localisation : SEVRES
Loisirs : Top Secret...Dossier Classé Confidentiel
Date d'inscription : 03/08/2005
Re: Poèmes en Flammes
Vers fébriles
Quand ton regard enflamme la nuit de mes songes,
L’air qui nous sépare brûle dans mes poumons,
Les cris du silence portés par ses anges,
Couronnent l’éternel, l’espace d’un instant.
Corrompue, mon âme, avide et étrange,
S’acharne anxieuse à briser le moment
Que l’attente aveugle, déguste et ronge,
Comme le crime qui dépasse le sablier du temps.
Et soudain les flammes de tes lèvres inscrivent,
Lentement sur mes lèvres, le sceau du désire.
Et une poussière de sel rayonnante dessine,
Sur ton corps le désert que ton cœur inspire.
Inonde mes sens de ta terre aride !
Caramel, orange, sable, cannelle,…
Des arômes du sud que sur ta peau je respire
Et qui parcours nos âmes de frissons en dentelles.
Un tourbillon de soleil percute mes veines,
Le vertige conquerront est son porte-drapeau,
Il dévore mon corps tel un guerrier sans trêve,
Et avance vorace agitant son flambeau.
Ta chevelure enlace cette faiblesse qui est en moi,
Et retient ma chute, douce, dans tes bras
Chaque boucle, chaque mèche, qui glisse entre mes doigts,
Est l’instant d’une caresse qui anime nos ébats.
Je revois soudain ton regard éclore…
De cette portée qui baigne de musique nos corps,
Une mélodie d’alènes et soupires qui décorent,
La chaire ardente de deux femmes qui dévorent
Les plaisirs de la vie, essence de leur sort.
Quand ton regard enflamme la nuit de mes songes,
L’air qui nous sépare brûle dans mes poumons,
Les cris du silence portés par ses anges,
Couronnent l’éternel, l’espace d’un instant.
Corrompue, mon âme, avide et étrange,
S’acharne anxieuse à briser le moment
Que l’attente aveugle, déguste et ronge,
Comme le crime qui dépasse le sablier du temps.
Et soudain les flammes de tes lèvres inscrivent,
Lentement sur mes lèvres, le sceau du désire.
Et une poussière de sel rayonnante dessine,
Sur ton corps le désert que ton cœur inspire.
Inonde mes sens de ta terre aride !
Caramel, orange, sable, cannelle,…
Des arômes du sud que sur ta peau je respire
Et qui parcours nos âmes de frissons en dentelles.
Un tourbillon de soleil percute mes veines,
Le vertige conquerront est son porte-drapeau,
Il dévore mon corps tel un guerrier sans trêve,
Et avance vorace agitant son flambeau.
Ta chevelure enlace cette faiblesse qui est en moi,
Et retient ma chute, douce, dans tes bras
Chaque boucle, chaque mèche, qui glisse entre mes doigts,
Est l’instant d’une caresse qui anime nos ébats.
Je revois soudain ton regard éclore…
De cette portée qui baigne de musique nos corps,
Une mélodie d’alènes et soupires qui décorent,
La chaire ardente de deux femmes qui dévorent
Les plaisirs de la vie, essence de leur sort.
Saphyre- Lez à l'aise
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