trois ptits textes

J'ai beaucoup ecrit, voila trois petits texte plutot durs je trouve mais que j'affectionne particulièrement.


Hopital je te hais.

Tu te dresse là, toi dont les murs blancs feinte d'etre imaculer, pourtant, je sais tout le sang versé.
Je sais chaque vie qui s'envole en tes murs, et les cris de douleurs que tu ettouffes derrière des portes trop grandes.
Je connais ces Bip frenetique qui ralentissent et ceux qui s'affolent, je sais la finalité.
Tu te dresse là, géant de beton, comme le guerrisseur, comme les miracles que tu n'exausse jamais!
Je sais la drogues qui coule lentement dans les tuyaux donnant la mort plus douce, je sais ses machines qui vivent à la place de tous ces corps bel et bien deja morts!
TU te dresse là devant moi, mais tu ne m'auras pas, j'ai vu la douleur sur leurs visages, j'ai vu le sang sur les mains de tes hommes impuissants.
Tu te dresse la devant moi, tu me nargues. Mais je t'ai vu donner la mort à ceux qui ne devaient pas, j'ai vu tes failles!
Tu te dresse là devant moi, et je pleurs...
Hopital je te hais!

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Je l'ai encore fais...

les doigts posé sur le clavier je regarde, je réalise que ça ne changera pas cette fois encore. Ce n'est qu'une question de temps avant que le pire n'arrive, comme il arrive toujours.
J'espere qu'il sera plus doux pour lui.

Je me rappelle la première fois, la mort avait été une lente agonie que j'avais regarder comme si j'y était étranger, j'ai regarder leurs corps doucement faiblirent et tomber dans un veritable carnage, une hecatombe... tellemetn de sang... tout a disparu.

La deuxieme fois fut plus brutale, ou peut etre pas... la mort a pris son temps, mais je ne l'ai pas vu...juste leur cris, juste cacher cet acte... l'air a commencer a manquer, et ils ont criés moins fort... plus de bruit.

Je pensait que c'était fini, je l'aimais tant... Mais elle leur était trop semblable mais il me fallait de nouveau jouer a dieu...Ca a durer trois jours...trois long jours d'agonie ou je la regardait doucement s'éteindre...puis j'ai regretter, bien trop tard...je ne pouvais plus regarder en face mes actes... C'est dehors, dans le froid que la vie l'a quitter... plus de traces.

Le temps a passer... J'ai oublier. Mais le pire était toujours là quelque part en moi.

J'ai regarder l'eau doucement monter, il a pourtant essayer de nager, un temps, jusqu'a epuisement...IL a essayer de survivre mais plus il se battait et plus malgrès moi j'augmentait le volume d'eau... Je voulais me venger...j'ai vu son corps flotter... plus une goutte.

Leurs vies, si fragiles entre mes mains... combien d'autres encore, combien de tortures differentes? J'ai oublier... IL n'en reste rien...

Je cache le pire derriere un visage d'ange, s'ils me voyaient, tel que je suis, s'ils savais ce que j'ai fais, ce que je vais faire...

J'aimerais seulement rever enfin, que tout ne soit qu'un rêve et que chacun de mes rêves soit une vie...

Devrais je avoir honte? devrais je avoir mal? J'aimerais resentir la moindre emotion, n'importe laquelle, le regret, la culpabilité... mais je ne regrette rien vraiment, je ne sais pas avoir honte... C'est comme si c'était un autre, dont je ne suis pas responsable qui effectue ces crimes dont seule mes mains sont salies...

Je sais juste le pire... existe il un meilleur? Apprenez moi....


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Je ne sais plus trop pourquoi je suis venue là, je crois que j’avais mal, que je voulais oublier. Je ne sais plus combien de verres j’ai pu boire, juste que j’avais chaud et que tout semblait plus simple, plus euphorique.
Mais je me souviens de lui, de son regard plein d’envie qui medégoutait. Je me souviens sa main qui a parcouru mes hanches, je voulais reculer, mais mon corps a refuser de bouger, je suis rester à le regarder.

Je me souviens ses levres sur les miennes, je sais que ça me dégoutait et pourtant à son baiser je repondais malgrès moi. Je ne sais plus trop après, comment tout ça c’est passer, jusqu'à sa main sur ma peau, sur mon ventre, et partout ailleur, me brulant à en mourir et pourtant ma peau frissonait. Je voulais partir, je voulais dire non, mais ma voix a dit oui.

Je l’ai laisser faire, ce viol concentant, sans même qu’il ne voit son crime, je suis plus coupable que lui.

Je l’ai senti en moi, et j’aurais voulu mourir à cet instant, j’aurais voulu crier, mais je n’ai rien fait. J’ai sentis ce déchirement en moi, cette douleur revenir. Chaque mouvement en moi comme une lame s’enfonçant toujours plus profondement dans mon ame.
Ses gestes, ses yeux sur moi, pleins d’amour, me donnant envie de vomir. Des larmes à mes yeux, seul exutoire à ma douleur. J’ai sentis son plaisir se rependre en moi, me salissant jusqu'à l’âme, me rongeant en dedans comme de l’acide.

Il me l’a dit, ces mots que je ne voulais pas entendre, je venais de gacher quelque choses, je venait de lui faire mal, tout comme j’avais mal.

Je suis partis, j’ai fuis, mais j’avais beau courir c’était en moi, cette chose vibrante dans mon ventre me rappellant sans cesse cette nuit là. Je voulais l’extraire, le faire disparaître pour oublier à nouveau.
J’ai eu mal, comme un morceau de moi arraché à mon corps. Cette douleur persistante.

Je ne sais plus trop pourquoi je suis revenu, je ne sais plus trop pourquoi j’ai bu. Je voulais oublier encore cette douleur, et je me suis fait mal encore. Mais c’était different, dans ses yeux à elle, il n’y avait rien, pas d’émotions. La douleur était devenu moins forte au fil des nuits, peut etre juste parsque je m’y était habitué. Après tout avoir mal me prouvait que je vivait encore.

Le plus dur est maintenant, maintenant que je n’y retourne plus, car il reste toujours la trace dans mon ame, indelibile et douleureuse.

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