Une Petite Prose ....
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Une Petite Prose ....
En dédicace à l'Amour, ce thème, cher à mon coeur...
Je reçois de ce ciel où je me réfugie, l'absolu, le désir, le goût inachevé de la prime beauté et que j'ai voulu mienne, qu'entre mes doitgs galbés j'ai faite souveraine. L'amour interpellé, tandis qu'un soir à la tombée d'une Lune limbée, escortée de milles étoiles parfumées, je m'inventai un monde, celui du renouveau. Je m'y suis installée, quelques jours espacés, en prenant de mon corps son ultime décor... ce parfum encensé du gingembre et des prés, enchantés, où nous nous enroulions quand nos rires se croisaient. J'étais accompagnée d'une onde louvoyante, d'un esprit de Guérande, de son suc, si salé que je crus un instant me pâmer, tant elle ruisselait d'une blancheur nacrée. Elle était belle, elle était celle que je désirais.
La poésie de la vie me soudoie, m'interpelle et me zèle, me fait rire bien au-delà de moi... jusqu'à paraître plus belle... Femme que je suis !!!
Ô combien je m'égare en pensant au hasard, à Elle, opposée à mon regard.
Muses séductrices qui me croyez actrice, comédienne ou rebelle, je ne suis qu'une femme... réductrice de vos vices ou douleurs que vous vouliez cachés dans vos ventres où je m'enfouis d'autorité. Soyez remerciées de ces inhibitions, de ces amours voilés qui n'attendaient que promesses de vent... de rêves, d'étincelles, de ces mers bousculées où malgré vous je parvenais à initier cette étoile qu'un jour je comparai à moi !!!!
Samie (02/04/05)
Je reçois de ce ciel où je me réfugie, l'absolu, le désir, le goût inachevé de la prime beauté et que j'ai voulu mienne, qu'entre mes doitgs galbés j'ai faite souveraine. L'amour interpellé, tandis qu'un soir à la tombée d'une Lune limbée, escortée de milles étoiles parfumées, je m'inventai un monde, celui du renouveau. Je m'y suis installée, quelques jours espacés, en prenant de mon corps son ultime décor... ce parfum encensé du gingembre et des prés, enchantés, où nous nous enroulions quand nos rires se croisaient. J'étais accompagnée d'une onde louvoyante, d'un esprit de Guérande, de son suc, si salé que je crus un instant me pâmer, tant elle ruisselait d'une blancheur nacrée. Elle était belle, elle était celle que je désirais.
La poésie de la vie me soudoie, m'interpelle et me zèle, me fait rire bien au-delà de moi... jusqu'à paraître plus belle... Femme que je suis !!!
Ô combien je m'égare en pensant au hasard, à Elle, opposée à mon regard.
Muses séductrices qui me croyez actrice, comédienne ou rebelle, je ne suis qu'une femme... réductrice de vos vices ou douleurs que vous vouliez cachés dans vos ventres où je m'enfouis d'autorité. Soyez remerciées de ces inhibitions, de ces amours voilés qui n'attendaient que promesses de vent... de rêves, d'étincelles, de ces mers bousculées où malgré vous je parvenais à initier cette étoile qu'un jour je comparai à moi !!!!
Samie (02/04/05)
Re: Une Petite Prose ....
symap de te lire à vous samie
merci
:D
merci
:D
hotstuff2- Bannie
- Nombre de messages : 296
Date d'inscription : 04/06/2005
Bonjour à vous toutes....
Et comme je ne sais faire que cela, pourquoi ne pas en parler .. Aimer,
Aimer,
souffle ou soupir
sur ce corps
que je désire,
aimer,
onde ou reflet
de son âme
sur mon regard posé,
aimer,
ce frisson
parcourant la toison
de mes cheveux
à celle de mes lèvres
où s'agite le feu
qui enfièvre
et rend heureux.
Aimer,
crier à ventre ouvert
en laissant sa colère
rejaillir sur la terre
que je vais caresser
ou boire à volonté
afin qu'elle s'écoule
de son antre
à la lisière
de ma bouche...
à la souche
pour en prendre racine.
Aimer,
à en crever
et pouvoir
exhaler cet amour,
à volonté,
avide
pour toujours
puis m'exiler
de son corps lourd
à jamais.
samie (11/03/05)
Aimer,
souffle ou soupir
sur ce corps
que je désire,
aimer,
onde ou reflet
de son âme
sur mon regard posé,
aimer,
ce frisson
parcourant la toison
de mes cheveux
à celle de mes lèvres
où s'agite le feu
qui enfièvre
et rend heureux.
Aimer,
crier à ventre ouvert
en laissant sa colère
rejaillir sur la terre
que je vais caresser
ou boire à volonté
afin qu'elle s'écoule
de son antre
à la lisière
de ma bouche...
à la souche
pour en prendre racine.
Aimer,
à en crever
et pouvoir
exhaler cet amour,
à volonté,
avide
pour toujours
puis m'exiler
de son corps lourd
à jamais.
samie (11/03/05)
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