Ecriture automatique désastreuse.
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Ecriture automatique désastreuse.
Acculée, écoulée
Acculée, écoulée
Entre Terrible vérité
Extasiée ; danse, accusée
Allaité le poison.
Et des chants, dans la nuit, font écho au Silence.
Prosternée contre l'Autel, j'attends que le chat ouvre les yeux, regard d'étincelles, pucelle,
J'avale le poison allaité de lâcheté.
Acculée contre le mur, s'écoulant comme le sang
Entre ses mots teintés de demi-sons,
Extase ; danse ; espoirs de
Pâmoison.
Faut-il vraiment se crever les yeux pour voir ?
Burlesque.
Tic. Tac.
Je mords tes lambeaux de songes.
Je tremble sous tes ongles et tes morceaux de chair.
Que tu ronges sous la misère que tu assènes et gangrènes.
Plonge dans les méandres de ma folie, salive quand je me laisse choir sur nos sentiments.
Prononce mon nom avec des larmes de fracas.
Mange tous les éclats qui étrennent le temps.
Bois le fiel que j'élève à l'ombre de mes illusions.
Noie-toi dans le goudron de tes divagations larvaires.
Et regarde une dernière fois l'horizon de l'habitude s'échouer contre nos calvaires.
Cogne tes os sur l'autel de nos desirs les plus immatériels.
Tu transpireras l'envie le plus charnel.
Osmose de deux cosmoses.
Repire enfin la joie du Néant à deux.
Aspire mon âme qui cogne contre le pavé.
Ecriture automatique désastreuse.
Haut-le coeur révélateur,
Nuage boursouflé d'égouttures
L'angoisse détrempe la torpeur
Et pourlèche les salissures.
Pieds et poings liés dans le
Bassin j'avale à pleines gorgées
Le liquide amniotique de
Nos banalités.
Acculée, écoulée
Entre Terrible vérité
Extasiée ; danse, accusée
Allaité le poison.
Et des chants, dans la nuit, font écho au Silence.
Prosternée contre l'Autel, j'attends que le chat ouvre les yeux, regard d'étincelles, pucelle,
J'avale le poison allaité de lâcheté.
Acculée contre le mur, s'écoulant comme le sang
Entre ses mots teintés de demi-sons,
Extase ; danse ; espoirs de
Pâmoison.
Faut-il vraiment se crever les yeux pour voir ?
Burlesque.
Tic. Tac.
Je mords tes lambeaux de songes.
Je tremble sous tes ongles et tes morceaux de chair.
Que tu ronges sous la misère que tu assènes et gangrènes.
Plonge dans les méandres de ma folie, salive quand je me laisse choir sur nos sentiments.
Prononce mon nom avec des larmes de fracas.
Mange tous les éclats qui étrennent le temps.
Bois le fiel que j'élève à l'ombre de mes illusions.
Noie-toi dans le goudron de tes divagations larvaires.
Et regarde une dernière fois l'horizon de l'habitude s'échouer contre nos calvaires.
Cogne tes os sur l'autel de nos desirs les plus immatériels.
Tu transpireras l'envie le plus charnel.
Osmose de deux cosmoses.
Repire enfin la joie du Néant à deux.
Aspire mon âme qui cogne contre le pavé.
Ecriture automatique désastreuse.
Haut-le coeur révélateur,
Nuage boursouflé d'égouttures
L'angoisse détrempe la torpeur
Et pourlèche les salissures.
Pieds et poings liés dans le
Bassin j'avale à pleines gorgées
Le liquide amniotique de
Nos banalités.
1984- Lez'er moi entrer !
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Date d'inscription : 11/03/2009
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