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mon roman lez

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Message par sauvage Ven 05 Aoû 2005, 16:37

La vie des années 60

Voilà, elle vient de fêter ses 5 ans de mariage avec Armand. De leur union deux enfant sont nés Amandine et Bruno, âgés de 4 et 2 ans. Mais Lorraine n’est pas totalement heureuse. Il lui manque quelque chose et elle ne sait comment le définir. Son mari très doux et attentionné fait tout son possible pour lui facilité la vie : première machine à laver le linge, voiture, frigidaire, tout pour lui rendre la vie confortable.

Oui, on est en 1961, la femme vote, mais doit toujours être sous tutelle de son mari. Pas le droit à son compte bancaire, ne peut travailler qu’avec l’autorisation de son époux. Une époque ou la femme est un objet de luxe pour un homme ou le seul moyen d’avoir une employée de maison pas chère. Bref, la femme libérée n’est pas encore née. Le regard des autres, les commérages sont monnaies courante. Le quand dira-t-on, ou vous avez vu le comportement de cette famille ! Tout pour les ragots.
Lorraine, n’a que faire de ces femmes qui rapporte les cancans. Son mari lui laisse gérer les finances du ménage, et lui laisse le libre choix de ses amies, et surtout pour son droit au travail. Sa seule exigence, c’est qu’elle lui donne un peu d’argent de poche, et un repas chaud par jour.
Lorraine à épouser Armand à sa sortie de l’école ménagère. Ils se sont rencontrés lors d’un bal, comme y en avait beaucoup à cette époque, mais ils se font de plus en plus rare dans la région. Lorraine a rencontré son mari à une époque ou elle portait son regard sur les hommes comme sur les femmes.
Ayant connu Armand à l’âge de 16 ans elle savait qu’il ferait un bon mari. Et elle prit sa lubie pour les femmes comme une boutade. Et 2 ans plus tard épousa, avec le consentement de ses parents, vu que la majorité était à 21 ans, Armand et Lorraine eurent très vite leur premier enfant. Qui comblera l’absence de son mari qui travaille en roulement, donc les postes de matin midi nuit. Il fut rare de voir Armand libre les dimanche et jour fériés car son métier de chimiste était exigeant.
Lorraine passait la plus part de son temps à lire, regarder la télé. Et tout en faisant son ménage, elle écoutait le transistor. Entre Piaf, Trenet et les chansonniers, qu’elle avait plaisir à écouter, elle prenait soin de la petite maison de banlieue. Avec son intérieur impeccable, elle était fière de sa vie. Mais un sentiment de manque persistait, elle ne pouvait définir en quoi.
Et voilà le terrain jouxtant la maison vient d’être vendu. Une autre famille va s’installer dans ce nouveau quartier de la ville . lorraine espère de tout cœur que se sont des personnes de leurs âges car les autres couples ont environ 10 ans de plus qu’elle et son mari. Pas facile de se lier d’amitié pour cette jeune femme de presque 24 ans et déjà tellement femme, responsable, très terre à terre.
La nouvelle distraction de Lorraine, admirer la construction de la nouvelle demeure. D’après ce qu’elle voit, elle sera de plein pied, et pas très grande, une famille avec un enfant d’après le nombre de pièce. Elle se met à imaginer la maison ou il y aura peut-être des combles. Lorraine est toute excitée à l’idée d’avoir de nouveaux voisins.

La construction de la maison dura bien un an. Durant une année, elle fit attention, espérant voir les futur propriétaire. La seule personne qu’elle vit ce fut une femme d’environ 30 ans, toujours habillée d’un tailleur strict. A vu de œil, cette femme devait travailler et avoir les pleins pourvoir de son mari. C’est une femme que l’on peut dire émancipée.
La semaine du 20 octobre 1964, la maison fut emménagée. Le camion de déménagement à tout mis en place sous la direction d’une femme d’une soixantaine d’année, sûrement la mère d’un des futur voisins.

Pour leur souhaiter la bien venue, Lorraine, a confectionné un gâteau et vu que son mari est en stage, les enfants à l’école, elle peut prendre son temps pour aller voir ses voisins. De plus pas besoins d’aller chercher les enfants, ils vont en vacances chez sa mère pour le week-end.
Vers 18h, Lorraine prit son courage à deux mains et alla sonner à la porte de la nouvelle maison. Une jeune femme lui ouvre.
Ravie de cet accueil, France, invita la jeune femme à prendre une tasse de café. Les présentations faites, les deux jeunes femmes bavardèrent joyeusement
- Bonjour, je me présente Lorrain Durant, je suis votre voisine
- Enchantée, moi c’est France Lafontaine. Entrez donc nous allons faire connaissance. Et un tel accueil me donne chaud au cœur
- C’est la moindre des choses
- Puis-je vous offrir une tasse de thé ou de café ?
- Oui, un café avec plaisir
France trouve cette jeune femme charmante, sa voix est douce, reposante
- Puis-je poser une question ? demanda Lorraine
- Bien sûre
- Que fait monsieur Lafontaine dans la vie ?
Un peu gênée, France sourit
- Je vais vous choquer ! Y a pas de Monsieur Lafontaine. Je suis célibataire. Et vous ?
- Mon mari est chimiste
- Beau métier
- Oui, mais très accaparant
- Surtout si il a des responsabilité
- Oui, il est agent de maîtrise
- Vous avez des enfants
- Oui, deux, une filles Amandine qui a 4 ans et Bruno 3 ans. Ils sont chez ma mère ce week-end
- Ils doivent vous manquer, non !
- Oui, un peu, surtout que mon mari est parti en stage pour les 15 jours à venir
- Vous vous retrouvez toute seule. Et ce fut l’occasion de me rendre visite
- Un peu, c’est exact
- Nous pouvons prendre tout notre temps pour bavarder !
- Parfaitement
- Donc, je commence, j’ai 26 ans, je suis cadre supérieur dans une banque
- Mes félicitation, je suis femme au foyer, j’ai 24 ans. Dans quelle banque êtes vous ?
- Moi, je suis cadre à la banque de France, comme mon prénom, amusant non !
- Oui, mais c’est pas astreignant les responsabilités et vivre dans un monde d’homme ?
- Vous me faites rire. Non, c’est un défit lancé par mon père. Faire de sa fille unique, une femme que les hommes respectent
- Et votre mère qu’en a-t-elle pensée ?
- Ma mère est américaine, pour elle c’est naturelle, y a qu’en France que ça choque, qu’une femme soit indépendante
- Non, pas du tout. C’est simplement étonnant. Le plus étonnant c’est que vous soyez célibataire. Une jolie femme comme vous ne doit pas manquer de prétendants
- Oui, mais aucun homme ne partagera ma vie
- Pourquoi ?
France hésite, mais n’ose le dire
- C’est un choix, simplement. Je veux garder ma liberté.
- Vous ne voulez pas d’enfants ? s’étonne Lorraine
- Si mes pas dans l’immédiat et si possible sans mari. Si vous voulez, parlons d’autre chose
- Oui, je veux pas vous mettre mal à l’aise
- C’est rien, une autre fois, je vous expliquerez
- Oh, il se fait tard et je monopolise votre temps. Je m’en excuse
- Vous me dérangez pas, c’est agréable d’avoir de la compagnie
- Merci, c’est gentil, on pourra se revoir. A vous de venir prendre le café. Ou mieux, venez souper avec moi demain soir
- Non, non, vous sentez pas obligée
- Mais se sera un plaisir de parler avec vous
- Alors, j’accepte. Pour quelle heure ?
- Disons 19 h !
- 19h, je serais là avec le dessert
- Non, pas besin
- Si laissez-moi participer
- Très bien, à demain 19h, là je me sauve. Bonne soirée
- Merci, à vous aussi

sauvage
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Message par sauvage Ven 05 Aoû 2005, 16:38

France ne savait pas quoi penser. Lorraine est d’une fraîcheur exquise. L’entendre parler la ravie. « Bon sang, que m’arrive-t-il ? Pourquoi ce vide soudain depuis son départ. Raisonne toi, ma fille. Elle est mariée, mère de famille. Et toit, la risée du monde, lesbienne, et en plus cadre, financièrement autonome ? Tandis qu’elle, est une femme dévouée à son mari. N’y pense même pas »

Lorraine de son côté admirait France. Avoir sa vie sans contrainte, vivre pour soi. Son propre foyer, faire son travail de bureau et après gérer sa vie suivant ses envies. Mais la question est : Pourquoi n’est-elle pas mariée, un amour secret ? Ou un amour perdu ?

L’heure passée avec France, fut si agréable. Elle en avait ressentit un bien être immense comme elle en avait jamais connu. Et une hâte d’être au lendemain l’envahie. Lorraine a trouve une amie avec qui parler et songe qu’elle vont bien se comprendre et beaucoup de chose vont leur être apportée, l’une à l’autre
France, pense tout d’un coup à sa vie. Une enfance heureuse, une adolescence très libérale. Et ce demande : « qu’est-ce qui à fait que je me suis mise à aimer les femmes ? réponse rien, j’ai eu une enfance comme tout le monde. Un père, une mère, 2 cultures une française et l’autre américaine. C’est à 15 ans qu’elle s’est rendu compte que son regard se posait plus sur les femmes que sur les homme. Sa première petite amie, elle l’a rencontrée à 19 ans. Oui, Michèle une grande brune aux yeux sombre, aux idées très folles parfois. Rien qu’à penser à toutes les folies qu’elles ont faite, un grand rire lui échappe. Mais voilà, Michèle l’a quitté y a bientôt 3 ans. Personne n’a reprit sa place depuis. Depuis la mort de Michèle dans un accident de la route, France, s’évertue à réaliser ses rêves. Mais l’amour pour l’instant n’est pas dans ses projets. Son prochain défit : un enfant pour elle seule. Les fécondations clandestines, qui sont très chères, ne sont pas garanties à la réussite. Pas grave l’argent c’est pas un soucis. Mais prendre congès pour aller le faire c’est plus dur surtout si ça marche, comment le justifier. On verra le moment venue. D’abord, elle en parlera à ses parents, qui ont très bien admis sa différence
Mais voilà, un imprévu dans sa vie, une femme mariée qui la trouble. L’émeu et surtout ça lui fait peur. Que faire tenter ou fuir ? Fuir, l’éviter serait le plus sage. Mais comme une idiote, poussée par le plaisir d’être avec elle, elle a accepté l’invitation. Bon, il va falloir refouler ses désirs. Et se dire pas touche. Rappel toi, c’est un homme qui lui fait l’amour, pas toi. Toi, tu n’es rien pour elle, rien qu’une voisine.
France s’endormi péniblement. Et d’un sommeil agité, le visage de la belle voisine hante ses rêves. Elle ne pense qu’à une chose, conquérir son cœur. Mais bon, c’et impossible, c’est un rêve comme tant d’autres. Mais le pire, c’est qu’au petit matin c’est toute en sueur et désireuse qu’elle ouvrit les yeux. Bonne résolution du matin une douche glacée et ne plus penser à la voisine.
Peine perdue, dès qu’elle à trois secondes à elle, ses pensées volent vers la belle Lorraine. Que fait-elle, à quoi pense-t-elle. A moi peut-être ? Un moment de réalisme et c’est don’t dream, she is not your darling (rêve pas, elle n’est pas ta chérie) ou plutôt juste une pensée érotique qui va te pousser vers une nouvelle ouverture avec une femme lesbienne et passagère, et non cette belle hétéro.
Le soir venue, France, se dit de plus en plus qu’il ne faudrait pas y aller. Mais ne voulant pas la vexée, prit une douche froide, à vrai dire très froide, s’habille sans chichi. Avant de partir, elle fonce au frigidaire pour prendre la pâtisserie achetée pour le dessert.
Comment faire pour pas être tentée, par cette diablesse de beauté époustouflante. Se citer des règles :
1) rester charmante
2) ne pas provoquer
3) ne pas la toucher
4) surtout pas l’embrasser
C’est l’heure, courage France, c’et une femme juste une femme, pas d’autres songes.

Devant la porte de Lorraine, l’envie de partir la prend. Trop tard, elle ouvre. C’est pas vrai, elle est si belle, comme résister. D’entrée elles se proposent de se tutoyer. Pour que la soirée soit conviviale.
Une grande amitié naissante ce dit France. La soirée déjà bien avancée, elles prirent le café au salon. France prit place sur le canapé deux places. Et tout naturellement, Lorraine, vint s’asseoir juste à ses cotés. Sentir le contact du corps de Lorraine lui donne un frisson incontrôlable.
- Oh, excuse, tu as froid, France ?
Que c’est doux de l’entendre dure France
- Euh, non. Mais Lorraine, il me faut être honnête avec toi
- Ah bon, tu ne le fut pas ?
- Si, si, ça à rapport à mon célibat
- Tu n’est pas obligée de m’en parler si ça te gène
- Il va me falloir t’en parler
- Bien, je t’ écoute
- Merci. Mais avant de me juger laisse moi tout te dire. Tu veux bien ?
- Oui, bien sûre
- Bon, je me lance. Si je suis pas mariée, ça n’a rien à voir avec mes parents, mon enfance. C’est seulement, que je suis plus attirée par les femme que par les hommes. J’ai vécu 4 ans avec une femme, michèle. Elle est morte y a 3 ans dans un tragique accident de voiture. Donc, je t’avoue que j’aime les femmes. Et le frisson que j’ai ressenti est dû à l’attirance que j’ai pour toi.
- Pardon !
- Bon, c’est rien, je ferais mieux de partir
- Non, attend, dit elle en posant sa main sur le bras de France. J’ai l’impression de me libérer quand je suis avec toi. D’être complète, pour ainsi dire. Je dis pas que je ne suis pas heureuse, mais j’ai depuis longtemps la sensation qu’il me manquait quelque chose. Depuis hier , à vrai dire se sentiment a disparu.
- Lorraine, je veux pas te détourner de ta famille. Mais par acquis de conscience, je devais te le dire
- Je te remercie de ta confiance
- Lorraine, si tu ne voulais plus me voir je comprendrais
- Ne dis pas ça, j’aime parler avec toi
- Mais moi, j’ai peur, peur de tomber amoureuse de toi
- Et alors ?
- Alors, tu t’imagine pas le supplice que ça sera pour moi de te savoir dans les bras de ton mari, savoir que c’est avec lui que tu fais l’amour, que tu passes tes nuits. Rien qu’à cette idées, je le haïs déjà, sans le connaître
- Faut pas, il est très gentil
- Oui, mais c’est à lui que tu appartiens
- France, tu ne sais même pas si tu es amoureuse de moi
- Crois-tu au coup de foudre, aux rêves ?
- Oui, comme tout le monde
- Alors, je peux te dire que dès que je suis loin de toi, je me sens seule, perdue
- France, k’ai ressenti ça hier soir, en te quittant
- Lorraine, j’ai envie d’une seule chose depuis que tu es assise près de moi. Et je n’ose le faire. Je vais te laisser, cela vaut mieux
- France, pourquoi, on est bien là, à parler ensemble.

France, approche lentement son visage de celui de Lorraine. S’attendant à la voir ou avoir une baffe. Mais non, cette dernière derme les yeux. France pose ses lèvres sur celles de Lorraine. Inévitablement un désir fou la submerge. Elle attire Lorraine contre elle et l’embrasse avec douceur. Avec étonnement, Lorraine lui offre sa bouche. Irrésistiblement elle explore sa bouche, leurs langues se touchent, se caressent. Le désir de France se fait pressant. Lorraine s’accroche et se blotti contre elle. France pousse un gémissement de plaisir. Ses mains caressent le dos de Lorrain, commençant par les épaules descendant vers ses reins, caressant son postérieur. Quittant ses lèvres pour l’embrasser dans le cou, la fièvre qui s’empare de France, n’a qu’une fin : le faire sienne. France lui susurre des mots doux, le désir qu’elle ressent. Toute la ferveur de sa passion est là France glisse une mains sous le chandaille de Lorraine. Sa peau est si douce, elle n’a q’un désir la goûter. Lorraine s’enhardie, se met à caresser France, qui ne peut retenir un nouveau gémissement de plaisir. La bouche de France s’aventure à la naissance des seins de sa belle, qui a son tour gémie de plaisir. France conquise, entreprend de lui enlever son chandaille, mais là, la belle se dérobe.
- Non, France
- Lorraine, je te désir, je veux être tienne
- Non, s’il te plait France. J’avoue que tu es douce, que j’y prend opalisir. Mais arrêtons là
- Si tu le désir vraiment. Alors je ferais bien de rentre
- Non reste encore un peu
- Lorraine, c’est pas qu’un peu que je voudrais rester
- Je m’en doute
- Si je reste plus longtemps, je sais pas combien de temps je pourrais encore tenir sans t’aimer
- Je comprend

France se lève étourdie, et légèrement chancelante sur ses jambes. Se dirige vers la porte d’entrée ou de sortie. Lorraine la suit. Avant de sortir France la reprend dans ses bras pour l’embrasser à nouveau passionnément.
- Laisse moi passer la nuit dans tes bras
- Non France, pas cette fois
France sort sans un regard derrière elle. A peine la porte de chez elle fermée, elle fond en larmes. Des larmes de rage, de peine, de frustration. « je suis perdue, je tombe amoureuse à la 2e rencontre. En plus d’une femme mariée de surcroît. Tu es bête, tu devrais plus voir ma fille ». Décision prise, elle l’évitera le plus possible.
Cela fait 2 semaine que France n’a pas croisé Lorraine. Et tous les soirs, elle ne peut s’empêcher de regarder la maison de celle qui hante son cœur. « c’est trop dur, j’ai toujours envie d’elle, de pouvoir à nouveau la caresser, entendre ses gémissements de plaisir. En y pensant, le désir l’envahie, la transperce avec rage »
France se sent perdue, déboussolée. Elle prend la décision de partie quelques jours. Loi de sa maison, en un lieu ou elle n’aura plus à penser. Ou les jours seront plein d’occupations. Décidée, elle part en voyage.
Les jours de vacances passe, mais ces vacances ne sont pas libérateurs. Tous les couples avec enfants sont là pour lui rappeler Lorraine. Tout comme la carte de France ou la Lorraine est connue comme une région riche en trésor caché. France fait des prières muettes : « A quand la libération de la femme ? »
De retour dans son logis, la première personne à venir lui parler n’est autre que Lorraine. « Pourquoi vient-elle me voir ? Alors que je m’évertue à l’éviter. Garde le sourire et pare lui calmement »
- Bonjours Lorraine
- Bonjours France, comment vas tu ?
- Bien, merci, le quotidien rien de plus
- On peut entrer pour parler ?
- Si tu veux
Lorraine trouve du coup France très distante
- Pourquoi m’évites –tu ?
- Lorraine tu devrais l’avoir compris
- Je pense oui, mais je veux te l’entendre dire
- Te dire quoi ? Je t’aime, tu me manques, je te désir. C’est ça que tu veux entendre, ben voilà c’est dit
- Il en est de même pour moi France
- Pardon
- Je t’aime et je veux plus rester loin de toi
- Lorraine es tu sûre de toi ?
- Oui, plus que jamais
Dans un élan de joie France prend Lorraine dans ses bras et l’emmène précipitamment vers sa chambre. Ou elles passèrent l’après-midi à s’aimer.

minipop j'espère que ça t'a plu

sauvage
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Message par minipop Ven 05 Aoû 2005, 16:49

j'adore Razz

en plus spécial dédicasse et tout ... Cool
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Message par tildee Dim 28 Aoû 2005, 09:02

Je suis en pleine admiration devant autant d'inspiration. Tu devrais proposer
tes talents à une maison d'édition lesbienne, qui publie des romans genre Arlequin. Tu les intéresserais sûrement. Je ne me souviens plus du nom de la maison. Si tu veux, je peux retrouver. Contacte-moi.
Autrement, à Paris, quand tu iras, il y a une librairie homo rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, au hasard, dans le Marais, qui s'appelle les mots à la bouche. Ils ont tout.

J'aimerais que cela se passe aussi facilement dans la vie que dans ton roman.

à plus de te lire
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Message par speed_TT Ven 02 Sep 2005, 08:19

wouah! :thumleft:

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Message par Shane Ven 07 Oct 2005, 10:00

c super a kan une autre?
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