QuestionS existentielleS

Bon je le mets au pluriel, je suis bien sûre que vous en avez aussi des brouettes entières…

La mienne : comment appellez-vous votre : moitié, femme, compagne, belette, copine, boulette ? Je précise quand vous parlez d'elle, vous dites ma femme, ma compagne etc… :afro:
C'est quoi votre politiquement correcte ?

Il est interdit de répondre : par son prénom !!! mais toutes divagations, tergiversations, reflexions, disgressions sont nécessaires ! :éléphantrose:

Bande de lâcheuses !!!!

je peux difficilement répondre à ca vu ma situation, mais je peux poser la question existentielle que La-Garance n'ose pas poser :
castor ou panda ? moi c'est castor.

bon d'accord, dans mes moments de grand laisser aller, je dis ma biquette. j'avoue.
sinon je prefere le "ma copine" ; "ma femme" est un peu trop sexiste à mon gout, je prefererais "mon épouse" mais... et puis j'aime assez le "ma chérie" mais ca ne se place pas partout nimporte comment.

Kai a écrit:castor ou panda ? moi c'est castor.

Appelons-la Simone.

Moi c'est plus "mon écureuil" et dans les moments de grande tendresse, c'est "ma sardine des eaux profondes" voire "ma chèvre alpine"

muscat a écrit:Moi c'est plus "mon écureuil" et dans les moments de grande tendresse, c'est "ma sardine des eaux profondes" voire "ma chèvre alpine"

tu dois aimée les animaux toi?

Avez-vous déjà sondé ce lieu mystérieux qui hante (souvent) les maisons, ce lieu inconnu qui aspire de façon très singulière et brutale vos affaires ?

Il existe un tel lieu at home, et je soupçonne cette non zone d'être particulièrement friande de chaussettes, mais aussi crayons, papiers, castors, et volailles de tous poils de coings.

Vous avez résolu cette question épineuse, vous vous en êtes sorties, vous savez comment colmater ces fissures immatérielles, vous avez déjoué cet intrigant phénomène, vous avez arrêté les chaussettes, commencé un élevage de loutres, arrêté la viande de poulettes… ou vous êtes victimes de ces courts-circuits intempestifs, ce post est pour vous, venez témoigner de vos expériences traumatisantes ici…

Moi j'ai opté pour un pistolet à colle ; je colmate avec précision puis je place par dessus des panneaux type "chasse interdite, propriété privée" qui s'adressent aux chaussettes et autres. en général, tout le monde se tient à carreaux quelques temps.

Et sinon : pourquoi les angles des placards se déplacent-ils au-dessus de nos têtes lorsqu'on se lève le dimanche midi après une nuit un peu... arrosée ? Est-ce qu'il y a un truc lié à ca dans la Bible (dans la genèse peutetre ?) ou une explication scientifique ?

Il y a une explication scientifique bien sûr :
L'angle de rotation de la terre, la déclivité du tapis, la hauteur du vol des castors et comment tu as garé tes chaussettes.
Ils se divisent aussi et font des petits, mais là ça dépend de ce qu'a manger le dragon, si badtrip s'est remise au rocamadour, du nombre de poils de coings divisé par 8/5 ème sur les lunettes d'Emile, si le chewing gum a encore du gout, et de savoir si oui on non les pieds palmés sont recommandés pour la randonnée de St Jacques de Compostelle.

Le lieu dont parle Garance s'appelle un trou spatio-temporel. Il peut y en avoir partout, y compris d'assez gros pour aspirer les personnes. Certaines personnes sont particulièrement sujettes à l'aspiration, bien sûr, mais on y peut rien. Les trous peuvent être n'importe où, et on n'y peut rien. La chose à faire est renoncer à lutter et se résigner sagement, car plus on se débat, plus on s'enfonce.
Sinon j'ai habité dans une vraie maison hantée, où les objets avaient la faculté de disparaître; ce qui n'était pas si inquiétant que ça, puisqu'ils avaient aussi celle de réapparaître.... question de confiance!

Moi j'dis que ces trous sont non seulement n'importe où, mais en plus je crois qu'ils se déplacent, et ce, de façon subreptice.

Bien sûr qu'ils se déplacent; sinon on saurait où ils sont.
Mais il y en a aussi qui ont des territoires: par exemple il y a en un pas très loin des Halles, et aussi un vers la rue du Temple (à moins que ce soit le même). Il y en a aussi un à Montcuq, qui a englouti le magasin bio.
On devrait faire une cartographie des trous, tiens, tant qu'on est là à rien foutre.

Non... je vais pas éditer, ça serait trop facile.

J'ai peur , le sentiment que le phénomène prend de l'ampleur, que tout s'échappe, et Kai qui en perd son latin…

Mais non, au contraire, tout s'emboîte! Kai vient de confirmer le trou de la rue du Temple!

PS pour Kai : (nan je n'édite pas) Je ne suis pas une scientifique, certains paramètres peuvent m'échapper concernant la malice des angles de placards, mais je ne doute pas que ces lacunes seront comblées, au même titre que les trous divers et variés qui nous attendent au tournant.

Re PS pour Kai : As-tu une idée du périmètre de déplacement du gouffre de la rue du Temple ?

4 ou 5 arrondissements selon la position du soleil.
ca reste un trou de taille minime.

(edit : arrondissons les angles)

Minime minime, ça a pourri plus d'un samedi soir.

Pour répondre à la question des chaussettes qui disparaissent en laissant des orphelines inconsolables, c'est qu'il existe souvent près des machine-à-laver, parfois près des sèche-linge, des mange-chaussettes. Plus voraces que d'autres dans certaines maisons.
Ils sont tellement malins qu'on ne les a jamais vus.

tu penses qu'ils ou elles sont assez filous pour se placer à proximité du grade manger ? c'est interessant ; moi je me méfiais des tiroirs qui emploient des clandestins dans des conditions deplorables (evidemment), lesquels clandestins doivent faire des systemes ingénieux pour faire basculer les chaussettes derriere. ca demande beaucoup de force, de genre de pratique ; force que les tiroirs n'ont pas, comme chacune le sait.

Je m'interroge, n'avons-nous pas commis une terrible erreur…
En parlant d'elles, n'avons nous pas réveiller l'appétit féroce des failles et consorts ?

A ce jour :
Fitzouille = disparu
Kai = itou

Où vont-elles réapparaitre et surtout dans quel état ?

Les failles n'ont pas d'appétit, elles sont aveugles comme le destin. Ne tombons pas dans l'anthropomorphisme.