Vous lisez quoi en ce moment avec vos yeux ?

En même temps, la pirouette est difficile à faire entre 'Effondrement - Comment les sociétés décident de leur disparition ou de leur survie' de Jared Diamond (Etude comparée présentant les facteurs qui entrent en jeu ) et 'L'empire des anges' de Werber qui est juste un roman à la mode bien reposant...ce qui est pas plus mal! ça fait aussi du bien par ou ça passe...

Entre deux bandes dessinées, un magazine, je commence 'L'homme qui voulait être heureux' de Laurent Gounelle..

eryngium a écrit:Entre deux bandes dessinées, un magazine, je commence 'L'homme qui voulait être heureux' de Laurent Gounelle..

Yes !!! Je l'ai lu celui-là et c'est un vrai plaisir ... très simple de lecture mais avec des pistes de réflexion personnelle très très intéressantes

Je me suis régalée. Je viens de le prêter à une copine mais je pense que je le relirai dès qu'il me sera revenu ...

J'ai offert dernièrement à un ami et à mon père : 'Le pape des escargots' d'Henri Vincenot et je trouve que c'est une petite perle...

Didi38 a écrit:

dziki_nomada a écrit:"La Révolution des fourmis" - Bernard Werber.
J'en suis au troisième volume de la trilogie et je l'adore!

Voilà, j'en suis à celui-là aussi

Un grand classique Je l'ai lu il y a longtemps mais je garde un très bon souvenir de 103683

Je viens de finir également "Mercure" d'Amélie Nothomb. Ma femme est fan de cette dernière et a presque tous ses livres ... depuis que nous avons notre bibliothèque en commun, il m'arrive de piocher dans ses livres et j'ai donc débuter les Nothomb par "Le fait du Prince" qui ne m'a pas spécialement plu, mais je ne me suis pas résignée et j'ai enchaîné avec Mercure et j'ai trouvé ce livre très intéressant, plein de méthaphores intéressantes et avec une double fin déstabilisante ... C'est vraiment un univers particulier mais à défaut d'être "plaisant", c'est vraiment "intriguant"

'Stupeur et tremblements' et 'hygiène de l'assassin' étaient des lectures très interressantes!
Plonger à fond dans chacun de ces univers est déstabilisant...

Moi Amelie Nothomb j'accroche pas...je peux reconnaitre un certain talent derrière ces livres mais je ne suis pas touchée...

L'élégance du Hérisson De Muriel Barbery.

Après "Geisha" d'Athur Golden, que j'ai terminé à regret tant j'ai aimé ce livre et tant j'ai appris sur la culture nippone et la vie des geishas, je viens d'entamer "La cité de la joie" de Dominique Lapierre. Un incontournable que je n'ai pas encore eu l'occasion de lire, je vais donc y remédier de ce pas.

J'ai changé de catégorie... "Level 26 " écrit par le génie qui a créée la série CSI, Anthony E.Zuiker.

Je lis le mémoire d'une nana faut bien le corriger et le refaire ahahaha.

Je lis "le peuple des rennes" de Megan Lindholm... (alias Robin Hobb)
A savoir la tournure que ça prend je l'aurais pas lu, c'est pas fait pour moi, je suis trop sensible.

Je viens de finir "Mauvais genre" d'Axel Leotard



Et...je suis de plus en plus perdue.
Je comprends sans comprendre,je n'arrive pas à prendre position,ni à me faire ma propre opinion. Ça m'énerve,j'ai horreur de cela !

Pour me changer les idées je me suis rabattue sur "Le crépuscule d'une idole" d'Onfray.
J'adore tout simplement. La démystification de Freud à son apogée,le cynisme ressenti dans chacune des réponses proposées par l'auteur.
Gros coup de cœur ^^

'Darwing et les grandes enigmes de la vie _ Reflexions sur l'histoire naturelle' de Stephen Jay Gould...
Je trouve que c'est brouillon mais je le finirais quand même.

Je commence 'Requiem pour une cité de verre - une enquête du commissaire Brunetti" de Donna Leon.
Ces policiers se dévorent comme des petits pains!


Ps: Darwin pas Darwing... non mais des fois je suis vraiment trop à côté de mes pompes...comment il est arrivé là ce 'g'??

La Maharani de Gita Mehta

De 1897 à 1947, des moeurs et des traditions de l'Inde ancienne aux
soubresauts dramatiques de la guerre et de l'indépendance, la vie d'une
femme exceptionnelle : Djaya, princesse du royaume de Balmer. Elevée à
la cour comme toutes les maharani l'ont été avant elle, Djaya est
capable de chasser le tigre comme de se consacrer avec mille
raffinements aux rituels de la vie familiale ou conjugale. Bientôt
cependant, le XXe siècle vient bouleverser cet ordre ancien, l'influence
de l'Occident se faisant chaque jour plus agressive. Après la mort
tragique de son père, le maharaja Jaï Singh, Djaya devra subir la loi
d'un mari détestable qui, face à ses amis de l'aristocratie britannique,
lui fera jouer le rôle avilissant d'objet exotique, jusqu'au jour où,
après bien des tragédies, enfin au pouvoir, elle fera le choix de la
démocratie en embrassant la cause de Gandhi et Nehru.

C'est juste un livre formidable qui mêle une épopée romanesque à l'histoire, aux traditions culturelles et à la place des femmes. J'ai beaucoup appris sur l'occupation britannique de l'Inde, les traditions des grandes familles royales, l'asservissement des femmes et l'ouverture progressive de l'Inde à la démocratie.

une petite correspondance entre Freud et Einstein qui laisse reflechir

"Platon et son ornithorynque entrent dans un bar... " de D. Klein & T. Cathcart.

Assez sympathique meme si j'avoue ne pas tout saisir
Faut pas en demander trop non plus x)

L'élixir de longue vie de Balzac. Il s'agit d'un conte aux contours fantastiques intéressants où le mythe de Don Juan est revisité.

Ce que je sais de Véra Candida de Véronique Ovaldé.

Ça s'annonce pas mal...

Les vivants et les morts de Gérard Mordillat.

Lui, c'est Rudi. Il n'a pas trente ans. Elle, c'est Dallas. Rudi et
Dallas travaillent à la Kos, une usine de fibre plastique. Le jour où
l'usine ferme, c'est leur vie qui vole
en éclats, alors que tout s'embrase autour d'eux.

A travers l'épopée d'une cinquantaine de personnages, "Les Vivants et
les Morts" est le roman d'amour d'un jeune couple emporté
dans le torrent de l'histoire contemporaine. Entre
passion et insurrection, les tourments, la révolte, les secrets de Rudi
et Dallas sont aussi ceux d'une ville où la lutte pour
la survie dresse les uns contre les autres, ravage
les familles, brise les règles intimes, sociales, politiques.

Dans ce monde où la raison financière l'emporte sur le souci des
hommes, qui doit mourir ? Qui peut vivre ?


Un roman populaire et social touchant et plein de justesse.

J'emmène deux bouquins pour la semaine que je m'imagine déjà lire au son des grillons et cigales :

Un homme au singulier de Christopher Isherwood

Présentation de l'éditeur
Dans ce roman brillant, pénétrant, à la fois drôle et douloureux, Isherwood explore le sujet qui lui tient le plus à cœur. Son personnage principal est un Anglais vieillissant qui vit en Californie, un professeur que séparent de ses élèves l’âge et la nationalité, et du reste de la société son homosexualité assumée, lucide.
Cet autoportrait légèrement transposé, sarcastique et amer, peinture sans fard de la condition d’un homosexuel individualiste dans un monde conformiste et grégaire, est aussi une âpre méditation sur la solitude humaine. On retrouve dans ce livre la vivacité, l’humour, mais aussi le goût des ambiguïtés sexuelles et des personnages marginaux propres à l’œuvre
d’Isherwood.

Invisible de Paul Auster

Présentation de l'éditeur
New York, 1967: un jeune aspirant poète rencontre un énigmatique mécène français et sa sulfureuse maîtresse. Un meurtre scelle bientôt, de New York à Paris, cette communauté de destins placés sous le double signe du désir charnel et de la quête éperdue de justice.
Superbe variation sur "l'ère du soupçon", Invisible explore, sur plus de trois décennies, les
méandres psychiques de protagonistes immergés dans des relations complexes et tourmentées. Le vertigineux kaléidoscope du roman met en perspective changeante les séductions multiformes d'un récit dont le motif central ne cesse de se déplacer. On se délecte des tribulations du jeune Américain naïf et idéaliste confronté au secret et aux interdits, tout autant qu'on admire l'exercice de haute voltige qu'accomplit ce très singulier roman de formation.
Au sommet de son art narratif, Paul Auster interroge les ressorts mêmes de la fiction, au fil d'une fascinante réflexion sur le thème de la disparition et de la fuite.

Comme deux gouttes d'eau
Tana French

Lorsque l’inspecteur Cassie Maddox est appelée sur les lieux d’un meurtre, alors qu’elle a quitté la Crim depuis plus de six mois, elle perçoit dans la voix de ses anciens collègues une tension inhabituelle. Et pour cause : la victime lui ressemble...

je vous en dirai plus quand je l'aurai fini

Les piliers de la terre : Ken Follett.
Un bouquin dont l'histoire se situe en Angleterre au moyen âge.

...une carte postale....